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Girafes, loutres, éléphants... la Cites peut-elle encore les sauver ?
Actualités

Girafes, loutres, éléphants... la Cites peut-elle encore les sauver ?

Sur les huit millions d’espèces existantes, jusqu’à un million sont menacées d’extinction, « dont beaucoup dans les prochaines décennies ». Le 23 avril dernier, l’Ipbes, la plate-forme internationale scientifique dédiée à l’étude de l’érosion du vivant, publiait un rapport alarmant sur la perte de biodiversité dans le monde. Voilà pour le constat. Reste à plancher sur les solutions pour endiguer cette érosion. Il y en a forcément à trouver, ces prochains jours, à Genève, où sont réunis depuis jeudi et jusqu’au 28 août les 180 Etats signataires de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacés d’extinction (Cites). C’est la 18e COP (Conférence des parties) de l’organisme. Il y en a une tous les trois ans. Celle-ci doit se conclure le 28 août prochain après avoir examiné les 57 propositions mises sur la table.

Nous balayons les enjeux de ce sommet avec Charlotte Nithart, porte-parole de Robin des bois, ONG observatrice de la Cites depuis trente ans, et Loïs Lelanchon, chargé du programme de sauvetage des animaux sauvages à  Ifaw (Fond international pour la protection des animaux).

Comment fonctionne la Cites ?

Cet accord international est entré en vigueur le 1er juillet 1975, deux ans après avoir été signé, le 3 mars 1973 à Washington, par 80 pays. Elle compte aujourd’hui 180 Etats membres. Son but est de veiller à ce que le commerce international des spécimens d’animaux et de plantes sauvages ne menace pas la survie des espèces concernées. Autrement dit que ce commerce, lorsqu’il est autorisé, repose sur une utilisation durable des espèces sauvages.

La Cites fixe ainsi les règles du commerce international de plus de 35.000 espèces de faune et flore sauvage. « Selon le degré de protection dont elles ont besoin, la Cites classe ces espèces à l’une de ses annexes, explique Charlotte Nithart. Il y en a principalement deux : l’annexe 1, qui interdit quasi totalement le commerce des espèces qui y sont rangées, et l’annexe 2, qui réglemente et contrôle le commerce des espèces concernées. » « C’est justement lors des COP qu’est décidé le classement [ou le déclassement] d’espèces dans l’une des annexes », précise Loïs Lelanchon.

La Cites est-elle un outil important pour endiguer l’érosion de la biodiversité ?

Charlotte Nithart, comme Loïs Lelanchon, s’accordent sur ce point : la Cites ne réglera pas tous les problèmes de biodiversité. Son champ d’action est limité. « La convention se focalise uniquement sur le commerce international des espèces sauvages, rappelle Loïs Lelanchon. Autrement dit, elle n’a pas la main sur le commerce domestique. » La Cites n’a pas non plus la main sur les autres causes de pertes de la biodiversité, le commerce n’étant qu’une des menaces qui pèsent sur les animaux sauvages. La première, au niveau mondial, est la dégradation et la perte d’habitat, pointait en octobre dernier WWF dans son rapport « Planète Vivante ».

Il n’empêche, le braconnage continue d’être la première menace pour de nombreuses espèces, du pangolin aux éléphants d’Afrique, en passant par les rhinocéros ou les loutres. Dans ce contexte, la Cites reste une instance clé pour réguler le commerce d’espèces sauvages et lutter contre les trafics illégaux. « Il y a tous ceux qui œuvrent à la protection des espèces sur le terrain. Les gardes forestiers, les gardes-côtes, les douaniers…, explique Charlotte Nithart. Au-dessus d’eux, ces acteurs ont aussi besoin d’une coordination entre les Etats. Il faut éviter qu’une espèce soit protégée dans un pays et pas chez le voisin. C’est tout le rôle que doit jouer la Cites. »

Que faut-il espérer de cette COP18 ?

La fin de la chasse aux trophées ? C’est  la demande adressée, dimanche, à la Cites par une cinquantaine de députés européens et une cinquantaine d’organisations de défense de la nature. « Mais elle n’est pas à l’ordre du jour à Genève », répond Charlotte Nithart. En revanche, à l’agenda, il est bien question de l’inscription de la girafe à l’annexe 2. Car il y a urgence. « Les populations de girafe ont diminué de 40 % ces trente dernières années », rappelle Loïs Lelanchon. Et le commerce international n’est pas étranger à cette érosion. « La girafe est menacée par l’appétit pour la viande de brousse, la chasse sportive et de loisirs, déplore Charlotte Nithart. On fait aussi des bracelets avec ses poils, des couteaux avec ses os, des sacs à main avec sa peau, les crânes sont utilisés en décoration d’intérieur… »

Si la girafe est la priorité numéro 1, Robin des bois cite également l’inscription en annexe 2 du Gecko tokay, lézard multicolore venu d’Asie, et des concombres de mer, animal marin au corps mou très prisé sur le marché gastronomique asiatique. L’ONG réclame également le transfert en annexe 1 des tortues étoilées de l’Inde. L’Ifaw, de son côté, poussera pour classer la loutre cendrée et la loutre d’Asie en annexe 1.

Et l’éléphant d’Afrique ?

Après des décennies de braconnage, la population de ce mammifère emblématique, chassé pour son ivoire, est passée de plusieurs millions d’individus au milieu du XXe siècle à quelque 400.000 en 2015. De quoi faire du trafic d’ivoire un vieux serpent de mer. « Sur ce dossier, la Cites s’est révélée être une arme à double tranchant pour les éléphants », regrette Charlotte Nithart.

En 1989, elle a classé toutes les populations d’éléphants d’Afrique en annexe 1 et interdit ainsi le commerce international d’ivoire. Mais à partir de 1997, la Cites a fait marche arrière pour quatre pays d’Afrique australe (Botswana, Namibie, Zimbabwe, puis Afrique du Sud), en reclassant leurs populations d’éléphants en annexe 2. Ces quatre Etats ont été alors autorisés à vendre ponctuellement leurs stocks de défense d’Ivoire, issus de l’abattage régulier ou de mortalité naturelle. Ceci au motif que les populations d’éléphants de ces quatre pays étaient « saines et bien gérées » et que les ventes réalisées permettraient de financer des programmes de conservation de la faune sauvage.

Un boulevard pour le braconnage ?

« Cela a eu pour conséquence de relancer le braconnage d’éléphant sur tout le continent, déplorent Charlotte Nithart et Loïs Lelanchon. Les trafiquants ont bien compris qu’il serait difficile de faire la différence, sur les marchés, entre de l’ivoire provenant du stock d’un de ces quatre pays et de l’ivoire d’un éléphant braconné au Kenya ou au Gabon. »

A Genève, 32 pays de la Coalition pour l’éléphant d’Afrique proposent le reclassement de tous les éléphants en annexe 1, comme en 1989. Dans le même temps, le Botswana, la Namibie et le Zimbabwe demanderont de nouveau à pouvoir vendre leurs stocks d’Ivoire. La Zambie, quant à elle, espère obtenir le déclassement de ses éléphants en annexe 2. Si bien que plusieurs ONG environnementales craignent un nouveau boulevard pour le braconnage.


Source : 20 minutes
Crédit : TONY KARUMBA / AFP

Le 18e sommet de la Cites, la Convention internationale sur les espèces de faune et de flore sauvages, se tient jusqu'au 28 août à Genève, et pourrait acter de nouvelles mesures de protection pour les girafes.

Girafes, loutres, éléphants... la Cites peut-elle encore les sauver ? Actualités

Girafes, loutres, éléphants... la Cites peut-elle encore les sauver ?

Sur les huit millions d’espèces existantes, jusqu’à un million sont menacées d’extinction, « dont beaucoup dans les prochaines décennies ». Le 23 avril dernier, l’Ipbes, la plate-forme internationale scientifique dédiée à l’étude de l’érosion du vivant, publiait un rapport alarmant sur la perte de biodiversité dans le monde. Voilà pour le constat. Reste à plancher sur les solutions pour endiguer cette érosion. Il y en a forcément à trouver, ces prochains jours, à Genève, où sont réunis depuis jeudi et jusqu’au 28 août les 180 Etats signataires de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacés d’extinction (Cites). C’est la 18e COP (Conférence des parties) de l’organisme. Il y en a une tous les trois ans. Celle-ci doit se conclure le 28 août prochain après avoir examiné les 57 propositions mises sur la table.

Nous balayons les enjeux de ce sommet avec Charlotte Nithart, porte-parole de Robin des bois, ONG observatrice de la Cites depuis trente ans, et Loïs Lelanchon, chargé du programme de sauvetage des animaux sauvages à  Ifaw (Fond international pour la protection des animaux).

Comment fonctionne la Cites ?

Cet accord international est entré en vigueur le 1er juillet 1975, deux ans après avoir été signé, le 3 mars 1973 à Washington, par 80 pays. Elle compte aujourd’hui 180 Etats membres. Son but est de veiller à ce que le commerce international des spécimens d’animaux et de plantes sauvages ne menace pas la survie des espèces concernées. Autrement dit que ce commerce, lorsqu’il est autorisé, repose sur une utilisation durable des espèces sauvages.

La Cites fixe ainsi les règles du commerce international de plus de 35.000 espèces de faune et flore sauvage. « Selon le degré de protection dont elles ont besoin, la Cites classe ces espèces à l’une de ses annexes, explique Charlotte Nithart. Il y en a principalement deux : l’annexe 1, qui interdit quasi totalement le commerce des espèces qui y sont rangées, et l’annexe 2, qui réglemente et contrôle le commerce des espèces concernées. » « C’est justement lors des COP qu’est décidé le classement [ou le déclassement] d’espèces dans l’une des annexes », précise Loïs Lelanchon.

La Cites est-elle un outil important pour endiguer l’érosion de la biodiversité ?

Charlotte Nithart, comme Loïs Lelanchon, s’accordent sur ce point : la Cites ne réglera pas tous les problèmes de biodiversité. Son champ d’action est limité. « La convention se focalise uniquement sur le commerce international des espèces sauvages, rappelle Loïs Lelanchon. Autrement dit, elle n’a pas la main sur le commerce domestique. » La Cites n’a pas non plus la main sur les autres causes de pertes de la biodiversité, le commerce n’étant qu’une des menaces qui pèsent sur les animaux sauvages. La première, au niveau mondial, est la dégradation et la perte d’habitat, pointait en octobre dernier WWF dans son rapport « Planète Vivante ».

Il n’empêche, le braconnage continue d’être la première menace pour de nombreuses espèces, du pangolin aux éléphants d’Afrique, en passant par les rhinocéros ou les loutres. Dans ce contexte, la Cites reste une instance clé pour réguler le commerce d’espèces sauvages et lutter contre les trafics illégaux. « Il y a tous ceux qui œuvrent à la protection des espèces sur le terrain. Les gardes forestiers, les gardes-côtes, les douaniers…, explique Charlotte Nithart. Au-dessus d’eux, ces acteurs ont aussi besoin d’une coordination entre les Etats. Il faut éviter qu’une espèce soit protégée dans un pays et pas chez le voisin. C’est tout le rôle que doit jouer la Cites. »

Que faut-il espérer de cette COP18 ?

La fin de la chasse aux trophées ? C’est  la demande adressée, dimanche, à la Cites par une cinquantaine de députés européens et une cinquantaine d’organisations de défense de la nature. « Mais elle n’est pas à l’ordre du jour à Genève », répond Charlotte Nithart. En revanche, à l’agenda, il est bien question de l’inscription de la girafe à l’annexe 2. Car il y a urgence. « Les populations de girafe ont diminué de 40 % ces trente dernières années », rappelle Loïs Lelanchon. Et le commerce international n’est pas étranger à cette érosion. « La girafe est menacée par l’appétit pour la viande de brousse, la chasse sportive et de loisirs, déplore Charlotte Nithart. On fait aussi des bracelets avec ses poils, des couteaux avec ses os, des sacs à main avec sa peau, les crânes sont utilisés en décoration d’intérieur… »

Si la girafe est la priorité numéro 1, Robin des bois cite également l’inscription en annexe 2 du Gecko tokay, lézard multicolore venu d’Asie, et des concombres de mer, animal marin au corps mou très prisé sur le marché gastronomique asiatique. L’ONG réclame également le transfert en annexe 1 des tortues étoilées de l’Inde. L’Ifaw, de son côté, poussera pour classer la loutre cendrée et la loutre d’Asie en annexe 1.

Et l’éléphant d’Afrique ?

Après des décennies de braconnage, la population de ce mammifère emblématique, chassé pour son ivoire, est passée de plusieurs millions d’individus au milieu du XXe siècle à quelque 400.000 en 2015. De quoi faire du trafic d’ivoire un vieux serpent de mer. « Sur ce dossier, la Cites s’est révélée être une arme à double tranchant pour les éléphants », regrette Charlotte Nithart.

En 1989, elle a classé toutes les populations d’éléphants d’Afrique en annexe 1 et interdit ainsi le commerce international d’ivoire. Mais à partir de 1997, la Cites a fait marche arrière pour quatre pays d’Afrique australe (Botswana, Namibie, Zimbabwe, puis Afrique du Sud), en reclassant leurs populations d’éléphants en annexe 2. Ces quatre Etats ont été alors autorisés à vendre ponctuellement leurs stocks de défense d’Ivoire, issus de l’abattage régulier ou de mortalité naturelle. Ceci au motif que les populations d’éléphants de ces quatre pays étaient « saines et bien gérées » et que les ventes réalisées permettraient de financer des programmes de conservation de la faune sauvage.

Un boulevard pour le braconnage ?

« Cela a eu pour conséquence de relancer le braconnage d’éléphant sur tout le continent, déplorent Charlotte Nithart et Loïs Lelanchon. Les trafiquants ont bien compris qu’il serait difficile de faire la différence, sur les marchés, entre de l’ivoire provenant du stock d’un de ces quatre pays et de l’ivoire d’un éléphant braconné au Kenya ou au Gabon. »

A Genève, 32 pays de la Coalition pour l’éléphant d’Afrique proposent le reclassement de tous les éléphants en annexe 1, comme en 1989. Dans le même temps, le Botswana, la Namibie et le Zimbabwe demanderont de nouveau à pouvoir vendre leurs stocks d’Ivoire. La Zambie, quant à elle, espère obtenir le déclassement de ses éléphants en annexe 2. Si bien que plusieurs ONG environnementales craignent un nouveau boulevard pour le braconnage.


Source : 20 minutes
Crédit : TONY KARUMBA / AFP

Le 18e sommet de la Cites, la Convention internationale sur les espèces de faune et de flore sauvages, se tient jusqu'au 28 août à Genève, et pourrait acter de nouvelles mesures de protection pour les girafes.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Le 27 décembre 

ATELIER 
"FABRIQUE TA CITÉ !"

Les vendredis après-midi pendant les vacances scolaires, petits et grands bâtisseurs pourront s’essayer à la construction d’une ville romaine avec différents jeux d’architecture : des LEGO®, des KAPLA® et d’autres merveilles encore. Notre équipe vous accompagnera dans cette aventure à partager en famille. Venez redonner vie à notre cité disparue !

EPCC Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


Jusqu'au 5 janvier 2025

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE – LES PORTS ANTIQUES DE NARBONNE"

À travers plus de 150 objets, cette exposition met en valeur les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale, et détaille ses activités et métiers. Cette exposition place le public dans un rôle d'archéologue et lui fait vivre une expérience sensorielle unique.

EPCC Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


2B - Haute-Corse

Jusqu’au 21 décembre 

EXPOSITION
"CORSICA RUMANA, UNE ÎLE MÉDITERRANÉENNE À L’ÉPOQUE ROMAINE"

La problématique de cette grande exposition est de démontrer comment l’espace insulaire et sa population ont été intégrés dans la sphère d’influence romaine entre le IIe siècle avant J.-C. et le IIIe siècle après J.-C. A travers près de 600 objets et documents – pour la plupart inédits – c’est à un véritable voyage sur les traces de la romanité de l’île que les visiteurs sont conviés.

Musée de Bastia
Place du donjon
La Citadelle
20200 Bastia
04 95 31 09 12
https://musee.bastia.corsica


21 - Côte d'Or

Jusqu'au 5 janvier 2025

EXPOSITION 
"OCÉAN, ICI COMMENCE LA VIE"

Une exposition fascinante, captivante pour explorer, observer, découvrir, admirer, comprendre, agir… et prendre conscience de l'importance cruciale de l'océan dans l'équilibre de notre planète.

Le Jardin de l'Arquebuse
1 avenue Albert 1er & 14 rue Jehan de Marville 
21000 Dijon
03 80 48 82 00
www.ma-nature.dijon.fr


25 - Doubs

Jusqu'au 9 mars 2025

EXPOSITION 
"À L'AFFÛT"

À travers son art, le photographe animalier et grand voyageur, exprime ses rêves, ses émotions et ses rencontres en captant l'instant, celui de l’animal au cœur de son environnement. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


26 - Drôme

Jusqu'au 31 janvier 2025

ACTIVITE 3-11 ANS
LA FERME AUX CROCODILES

Le Père Noël est passé chez les crocos… et il est joueur ! Le Père Noël a caché 6 paquets cadeaux dans notre Réserve Tropicale. Les enfants doivent les retrouver et deviner à quel animal appartient chaque cadeau. Des indices et un plan les aideront à mener à bien cette mission !

La Ferme aux Crocodiles
395 allée de Beauplan
26700 Pierrelatte
04 75 04 47 42
www.lafermeauxcrocodiles.com


Du 21 décembre au 5 janvier

ANIMATIONS GRATUITES
LA FERME AUX CROCODILES

10h30 : RDV animalier avec les oiseaux - 11h30 : RDV animalier avec les tortues géantes - 12h00 : Documentaires à l'amphithéatre - 14h00 : RDV animalier avec les iguanes - 15h00 : tout sur le crocodile - 16h00 RDV animalier avec les oiseaux. Contes du Baobab du 21 au 23 décembre. Rencontre avec la mascotte le 24 décembre.

La Ferme aux Crocodiles
395 allée de Beauplan
26700 Pierrelatte
04 75 04 47 42
www.lafermeauxcrocodiles.com


34 - Hérault

Jusqu'au 9 mars 2025

EXPOSITION
"TISSER L'IMAGINAIRE"

Construite en partenariat avec le Mobilier national, l’exposition explore la notion d’Imaginaires dans l’art de la tapisserie. Récit d’aventures imaginaires transposées, illustration de contes et de fables, exploration de sentiments, de visions de l’esprit, représentations d’ailleurs imaginés ou rêvés, l’exposition montre les différentes formes que peut prendre l’imaginaire selon les artistes, les époques.

Musée de Lodève
Square George Auric
34700 Lodève
04 67 88 86 10
www.museedelodeve.fr


37 - Indre et Loire

Jusqu'au 5 janvier

"NOEL AU PAYS DES CHÂTEAUX, CHENONCEAU, UN NOËL DE PORCELAINE"

En partenariat avec la maison Bernadaud, le Château de Chenonceau propose une visite autour de la spécialité de cette famille depuis 5 générations : la porcelaine de Limoges. Découvrez l'association de deux savoirs-faire : la porcelaine et l’art de la table d’un côté et les compositions florales de l’Atelier floral du Château de Chenonceau de l’autre.

Château de Chenonceau
37150 Chenonceaux
02 47 23 44 06
www.chenonceau.com


38 - Isère

Jusqu'au 30 mars 2025

EXPOSITION
"ARCABAS, L’ÉTOFFE HAUTE EN COULEUR"

Outre les toiles de jute et l’impression sur soie que l’on retrouve dans l’église de Saint-Hugues, l’exposition présente des objets textiles conçus par Arcabas. Dans son œuvre picturale dont certains tableaux sont également présentés, les motifs des costumes, les drapés témoignent d’une recherche plastique constante.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


42 - Loire

Jusqu'au 5 janvier 2025

EXPOSITION 
"POUPÉE N’EST PAS JOUER" 

L’exposition est consacrée aux différentes fonctions que peut prendre la poupée dans notre société quand elle n’est plus un simple jouet destiné aux enfants. Elle devient alors support de réflexion et d’analyse sur des phénomènes d’ordre historique, anthropologique, médical, social ou artistique...

Musée d’Allard
13 boulevard de la Préfecture
42600 Montbrison
04 77 96 39 15
www.facebook.com/museeallard


63 - Puy de Dôme

Les 21 & 28 décembre 

STAGE
"CABINET DE CURIOSITÉ"

Participe à un atelier créatif pour réaliser des miniatures inspirées des richesses de notre territoire. Les miniatures réalisées seront intégrées à une exposition collective qui prendra la forme d’un cabinet de curiosités sous cloche. Ce cabinet sera par la suite exposé temporairement au musée Mandet. De 7 à 11 ans le 21 décembre, en famille le 28 décembre.

Musée Mandet 
14 rue de l’hôtel de Ville 
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/musees


Jusqu'au 23 février 2025

EXPOSITIONS
"DOUBLE PARADISO"

L'exposition Double Paradiso a ouvert ses portes. Du jardin des délices à la forêt du Petit chaperon rouge, embarquez pour un voyage imaginaire qui vous mènera dans l'univers captivant de Matteo CIbic, talentueux designer italien. Ses créations hybrides et humoristiques viendront ponctuer votre découverte de l'exposition présentée simultanément au musée Mandet et au Musée régional d'Auvergne.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville - 63200 Riom
Musée régional d’Auvergne
10 bis rue Delille - 63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/musees


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 5 janvier 2025

EXPOSITION MUSÉE LALIQUE
"HAPPY CRISTAL"

Happy Cristal revient chaque mois de décembre pour célébrer les fêtes de fin d’année au musée Lalique. C’est l’occasion, au travers de cette exposition-évènement, de mettre en avant les créations récentes de la cristallerie et de les faire vivre dans des mises en scène qui invitent au rêve, à l’évasion.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


68 - Haut-Rhin

Jusqu'au 30 décembre

MINI-EXPOSITION
“MARTINE, UNE PETITE AMIE DE 70 ANS”

Martine en a bercé des générations de petites lectrices depuis sa premièreaventure en 1954 ! Plus de 120 millions de livres vendus en langue française, 50millions en langues étrangères ! Les textes de Gilbert Delahaye, superbementillustrés par Marcel Marlier, ont rendu Martine la plus populaire des héroïnes denotre enfance. 

La Nef des Jouets
12 rue Jean Jaurès
68360 Soultz
03 89 74 30 92
www.ville-soultz.fr


Jusqu'au 30 décembre

EXPOSITION
"IL Y A 50 ANS : LES PREMIERS PLAYMOBIL®"

Les collectionneurs Frédéric Roy et Eddy Barrois présentent plusieurs dioramas sur des thèmes divers : l’espace, le Moyen-Age, les travaux publics, le Far-West, le cirque, les pompiers. Exposition de plus de 800 références et d’une trentaine de prototypes de 1974  à la fin des années 1980. Ouvert tous les jours sauf les mardis, de 14 h à 18 h.

La Nef des Jouets
12 rue Jean Jaurès
68360 Soultz
03 89 74 30 92
www.ville-soultz.fr


71 - Saône et Loire

Jusqu'au 24 décembre

EXPOSITION
"LE CHAROLAIS, UN PAYSAGE DE BOCAGE"

Installée au dernier étage de la Maison du Charolais, cette exposition retrace l'histoire du bocage charolais, sa composition, son rôle et les enjeux de sa préservation pour la faune et la flore, ainsi que pour les habitants de ce beau territoire rural.

La Maison du Charolais
43 route de Mâcon (RCEA N79 sortie 12)
71120 Charolles
03 85 88 04 00
www.maison-charolais.com


75 - Paris

Les 21 & 28 décembre

"ATELIERS EN FAMILLE"
MUSÉE DES PLANS-RELIEFS

Le 21 décembre : "Les p’tites histoires du Mont Saint-Michel" (6-8 ans). Pour écouter les histoires et légendes du Mont Saint-Michel et réaliser en famille une petite carte pop-up du Mont.
Le 28 décembre : "Ma ville en plan-relief" (6-12 ans). Pour découvrir les techniques de fabrication des maquettes dans le musée et réaliser un plan-relief géant collectif en atelier. Peinture, feutres, cartons et imagination seront au rendez-vous !

Musée des Plans-Reliefs
129 rue de Grenelle 
Hôtel des Invalides    
75007 Paris    
01 45 51 92 45
www.museedesplansreliefs.culture.fr


Jusqu'au 22 février 2025

EXPOSITION
"CLEMENCEAU CROQUÉ PAR SEM"

Le parcours de l’exposition-focus présente les débuts artistiques de Sem, le chroniqueur de la Belle Époque. Le parcours aborde sa carrière dans la presse et sa brève collaboration avec Clemenceau en 1913. Au moment où la guerre éclate, Sem devient correspondant de guerre pour plusieurs journaux et profite de cette période pour peaufiner l’imagerie clemenciste.

Musée Clemenceau
8 rue Benjamin Franklin
75116 Paris
01 45 20 53 41
https://musee-clemenceau.fr


Jusqu'au 11 mai 2025

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


77 - Seine et Marne

Jusqu'au 5 janvier

"LE GRAND NOEL"
VAUX-LE-VICOMTE

Vaux-le-Vicomte vous invite à plonger dans l’univers des contes pour sa nouvelle édition du Grand Noël. Entre décors somptueux, feux de cheminée et projections monumentales, laissez-vous émerveiller. 
Une expérience magique pour toute la famille en compagnie de Casse-Noisette, Blanche Neige ou encore Alice au Pays des Merveilles. 

Château de Vaux-le-Vicomte
77950 Maincy
https://vaux-le-vicomte.com


84 - Vaucluse

Jusqu'au 31 décembre 

EXPOSITION 
"CIRCUIT COURT"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 30 avril 2025

EXPOSITION 
"LES LIEUX IMAGINAIRES" 

A travers le travail de quelques artistes et architectes, nous nous interrogerons sur les façons et les lieux où nous vivrons dans l’avenir. Entre vénération du présent, visions futuristes et perspectives révolutionnaires offertes par l’intelligence artificielle, il s'agira de scénarios pour les nouvelles générations, fondés sur une profonde compréhension du passé.  

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com


88 - Vosges

Jusqu'au 31 décembre

"LA FORÊT ENCHANTÉE DES CRÉATEURS"
EPINAL

Pour Noël, la galerie du Bailli devient une forêt enchantée. Cette balade féérique vous invite à explorer un marché de Noël dans un décor naturel et poétique où vous retrouverez des créations uniques.

Office de Tourisme
6 place Saint-Goëry
88000 Epinal
03 29 82 53 32
www.tourisme-epinal.com

Lieux:

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