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Une nouvelle mesure de la constante de Hubble
Actualités

Une nouvelle mesure de la constante de Hubble

Depuis près d’un siècle, les astrophysiciens ne cessent de tenter de percer le mystère de la vitesse de l’expansion de l’univers. Dans les années 1920, les astrophysiciens Georges Lemaître et Edwin Hubble découvrent que, suite au Big Bang, l’univers est entré en expansion. Des décennies plus tard, deux équipes de chercheurs se rendent compte en 1998 que le rythme de cette expansion s’accélère avec la distance. Mais ce que les scientifiques sont encore incapables de dire avec certitude, c’est à quelle vitesse notre univers est en train de s’accroître. Cette vitesse se détermine grâce à la constante de Hubble, nommée H0. Celle-ci suscite bien des interrogations entre les cosmologistes, qui depuis plusieurs années obtiennent des valeurs différentes en fonction des stratégies employées pour la déterminer. Récemment, Wendy Freedman, astronome de l’Université de Chicago et spécialiste de la mesure de H0, a réalisé une nouvelle mesure de la constante, acceptée pour publication dans The Astrophysical Journal. En se fondant sur les étoiles géantes rouges pour la calculer, elle obtient une valeur de H0 de 69,8 km/s/Mpc. Mais pour bien comprendre la portée de ce résultat, il faut revenir, tout d’abord, à la source du problème.

La tension de Hubble

Deux méthodes sont principalement utilisées pour calculer H0. Mais leurs résultats diffèrent. La première repose sur l’analyse du fond diffus cosmologique. Celui-ci correspond à la première lumière émise par l’univers il y a plus de 13 milliards d’années. Ce rayonnement est perceptible aujourd’hui, notamment à l’aide du satellite européen Planck. Il permet de mesurer la constante de Hubble : 67,4 km/s/Mpc. Un mégaparsec correspond à une distance de 3,26 millions d’années-lumière. Cela voudrait dire que sur une telle distance, l’Univers grandit de 67 km par seconde.

La seconde méthode se fonde sur l’étude des chandelles standards. « Ce sont des objets dont on connaît a priori la luminosité. Ce flux lumineux nous permet d’estimer à quelle distance elles se trouvent », nous explique Mickaël Rigault, chercheur à l’Institut de Physique des 2 Infinis de Lyon. Les supernovae, des explosions d’étoiles mourantes, sont ainsi très bien connues et sont principalement utilisées par les chercheurs. En comparant l'intensité lumineuse émise par l’étoile à celle reçue sur Terre, les astrophysiciens déterminent la distance qui les sépare. Ils prennent, de plus, en compte le déplacement de la galaxie dans laquelle elle se trouve, et peuvent ainsi estimer la vitesse d’expansion. Mais en faisant cela, ils obtiennent une autre valeur pour H0 : 74 km/s/Mpc. Une différence significative avec la première mesure issue de l’analyse du fonds diffus cosmologique… et inexplicable ! Ce qui a donné lieu à ce qu’on appelle la « tension de Hubble ».

Deux théories principales permettent d’expliquer ces différences. La première explication serait que certaines lois physiques nous sont encore inconnues. Et il faudrait alors découvrir cette nouvelle physique. « Mais on ne sait pas ce que ça pourrait être, rappelle Mickaël Rigault. Aujourd’hui aucune des théories proposées ne fonctionne. » La seconde serait qu’il y ait des erreurs dans les mesures de la constante. Pour dissoudre cette tension, les astrophysiciens travaillent abondamment sur le sujet et démultiplient les méthodes.

Wendy Freedman est spécialisée dans la deuxième méthode, utilisant les chandelles standards. Cette méthodologie nécessite, tout d’abord, des supernoave. Mais on ne connaît pas leur luminosité absolue, qui conduit à la mesure de H0. Pour cela, les chercheurs ont besoin d’un élément extérieur pour calibrer les supernovae. Il peut alors s’agir de céphéides qui se trouvent dans la même galaxie. « Une céphéide est une étoile jeune, très grosse et très brillante, dont le flux lumineux oscille à cause d’un déséquilibre au sein de celle-ci », précise Mickaël Rigault. Cette variation lumineuse permet de déduire la distance à laquelle se trouvent ces étoiles, et donc la distance de leur galaxie. À partir de cette dernière, on peut mesurer la luminosité absolue de la supernova, qui permet de remonter à H0.

Wendy Freedman travaille depuis longtemps sur les céphéides. Elles ont l’avantage d’être nombreuses et très lumineuses. « Mais il est très difficile d’observer une seule étoile dans une galaxie lointaine, parce qu’il y a toujours une nuée d’autres étoiles autour », nuance Mickaël Rigault. Depuis deux ans, l’astronome s’est intéressée aux étoiles géantes rouges comme élément de calibration, et plus précisément au sommet de la branche des géantes rouges. Ce « sommet » correspond au moment où une étoile en fin de vie atteint un pic de luminosité, dû à l’embrasement de l’hélium dans son cœur. Le pic du sommet des géantes rouges se produit toujours au même moment. « On peut prédire la distance grâce à la différence entre le flux maximum observé de cette géante rouge et ce qu’on attend être son flux absolu si elle était dans notre galaxie », explicite Mickaël Rigault. « Ce que fait alors Wendy Freedman, c’est changer la méthode de ca
Des étoiles jeunes aux étoiles en fin de vie
libration des supernovae, en passant des céphéides aux géantes rouges ». L’intérêt des géantes rouges est qu’on les trouve partout dans les galaxies, et à des endroits où les étoiles sont complétement dispersées. Elles sont donc beaucoup plus simples à observer, et la mesure qui sera établie sera plus fiable, car il n’y aura pas de perturbations dues à la présence d’autres étoiles. Leur seul désavantage est quelles sont moins lumineuses que les céphéides, donc plus difficiles à repérer.

De nouvelles mesures compatibles

L’étude de Wendy Freedman utilise quatre manières différentes pour calibrer le pic de luminosité des géantes rouges, et celles-ci s’accordent à 1 % de différence. Le résultat est donc relativement fiable. Et celui-ci indique une constante de Hubble de 69,8 km/s/Mpc. La différence de mesure n’est alors pas significative avec les résultats issus de la méthode étudiant le fond diffus cosmologique. Pour Mickaël Rigault, « les intervalles d’erreurs de mesure de chacune des deux méthodes font qu’il n’y aucune raison de penser qu’il y a un problème avec les théories actuelles. » En outre, une étude parue en mars 2021 avait obtenu des résultats similaires en étudiant une supernova, à partir des fluctuations de luminosité de surface. Leur résultat publié dans Astronomy & Astrophysics était alors de 70,50 km/s/Mpc.  Wendy Freedman a également réalisé dans son étude une comparaison de ses résultats avec ceux issus des céphéides, qui demeurent plus élevés. « Le problème se situe donc peut-être au niveau des céphéides », en conclut Mickaël Rigault.

Les récents résultats de Wendy Freedman font ainsi pencher la balance vers l’hypothèse que la tension de Hubble proviendrait d’erreurs de mesures. Ce que confirme Mickaël Rigault : « une des choses que j’ai toujours soutenues, c’est qu’il y a potentiellement trop de problèmes partout pour qu’on puisse envisager une nouvelle physique. On espère tous qu’il y ait de la nouvelle physique, car cela serait passionnant, mais cela n’a pas l’air d’être évident. » La tension pourrait peut-être se dissoudre totalement avec de meilleures données. « Plus de mesures, c’est toujours mieux, mais il nous faudrait surtout des mesures différentes », précise Mickaël Rigault. Les ondes gravitationnelles pourraient ainsi être un nouvel outil intéressant. Elles ne permettent pas encore de mesurer la constante de façon précise, mais en multipliant les données la précision pourrait augmenter. Le mystère de la mesure de la constante de Hubble reste donc toujours à élucider, mais ces nouveaux éléments laissent envisager une possible dissolution de la tension.


Source : Samantha Dizier / La Recherche
Crédit : ESA/Hubble, NASA and H. Olofsson

Une étoile géante rouge en fin de vie, observée grâce au télescope spatial Hubble

Une nouvelle mesure de la constante de Hubble Actualités

Une nouvelle mesure de la constante de Hubble

Depuis près d’un siècle, les astrophysiciens ne cessent de tenter de percer le mystère de la vitesse de l’expansion de l’univers. Dans les années 1920, les astrophysiciens Georges Lemaître et Edwin Hubble découvrent que, suite au Big Bang, l’univers est entré en expansion. Des décennies plus tard, deux équipes de chercheurs se rendent compte en 1998 que le rythme de cette expansion s’accélère avec la distance. Mais ce que les scientifiques sont encore incapables de dire avec certitude, c’est à quelle vitesse notre univers est en train de s’accroître. Cette vitesse se détermine grâce à la constante de Hubble, nommée H0. Celle-ci suscite bien des interrogations entre les cosmologistes, qui depuis plusieurs années obtiennent des valeurs différentes en fonction des stratégies employées pour la déterminer. Récemment, Wendy Freedman, astronome de l’Université de Chicago et spécialiste de la mesure de H0, a réalisé une nouvelle mesure de la constante, acceptée pour publication dans The Astrophysical Journal. En se fondant sur les étoiles géantes rouges pour la calculer, elle obtient une valeur de H0 de 69,8 km/s/Mpc. Mais pour bien comprendre la portée de ce résultat, il faut revenir, tout d’abord, à la source du problème.

La tension de Hubble

Deux méthodes sont principalement utilisées pour calculer H0. Mais leurs résultats diffèrent. La première repose sur l’analyse du fond diffus cosmologique. Celui-ci correspond à la première lumière émise par l’univers il y a plus de 13 milliards d’années. Ce rayonnement est perceptible aujourd’hui, notamment à l’aide du satellite européen Planck. Il permet de mesurer la constante de Hubble : 67,4 km/s/Mpc. Un mégaparsec correspond à une distance de 3,26 millions d’années-lumière. Cela voudrait dire que sur une telle distance, l’Univers grandit de 67 km par seconde.

La seconde méthode se fonde sur l’étude des chandelles standards. « Ce sont des objets dont on connaît a priori la luminosité. Ce flux lumineux nous permet d’estimer à quelle distance elles se trouvent », nous explique Mickaël Rigault, chercheur à l’Institut de Physique des 2 Infinis de Lyon. Les supernovae, des explosions d’étoiles mourantes, sont ainsi très bien connues et sont principalement utilisées par les chercheurs. En comparant l'intensité lumineuse émise par l’étoile à celle reçue sur Terre, les astrophysiciens déterminent la distance qui les sépare. Ils prennent, de plus, en compte le déplacement de la galaxie dans laquelle elle se trouve, et peuvent ainsi estimer la vitesse d’expansion. Mais en faisant cela, ils obtiennent une autre valeur pour H0 : 74 km/s/Mpc. Une différence significative avec la première mesure issue de l’analyse du fonds diffus cosmologique… et inexplicable ! Ce qui a donné lieu à ce qu’on appelle la « tension de Hubble ».

Deux théories principales permettent d’expliquer ces différences. La première explication serait que certaines lois physiques nous sont encore inconnues. Et il faudrait alors découvrir cette nouvelle physique. « Mais on ne sait pas ce que ça pourrait être, rappelle Mickaël Rigault. Aujourd’hui aucune des théories proposées ne fonctionne. » La seconde serait qu’il y ait des erreurs dans les mesures de la constante. Pour dissoudre cette tension, les astrophysiciens travaillent abondamment sur le sujet et démultiplient les méthodes.

Wendy Freedman est spécialisée dans la deuxième méthode, utilisant les chandelles standards. Cette méthodologie nécessite, tout d’abord, des supernoave. Mais on ne connaît pas leur luminosité absolue, qui conduit à la mesure de H0. Pour cela, les chercheurs ont besoin d’un élément extérieur pour calibrer les supernovae. Il peut alors s’agir de céphéides qui se trouvent dans la même galaxie. « Une céphéide est une étoile jeune, très grosse et très brillante, dont le flux lumineux oscille à cause d’un déséquilibre au sein de celle-ci », précise Mickaël Rigault. Cette variation lumineuse permet de déduire la distance à laquelle se trouvent ces étoiles, et donc la distance de leur galaxie. À partir de cette dernière, on peut mesurer la luminosité absolue de la supernova, qui permet de remonter à H0.

Wendy Freedman travaille depuis longtemps sur les céphéides. Elles ont l’avantage d’être nombreuses et très lumineuses. « Mais il est très difficile d’observer une seule étoile dans une galaxie lointaine, parce qu’il y a toujours une nuée d’autres étoiles autour », nuance Mickaël Rigault. Depuis deux ans, l’astronome s’est intéressée aux étoiles géantes rouges comme élément de calibration, et plus précisément au sommet de la branche des géantes rouges. Ce « sommet » correspond au moment où une étoile en fin de vie atteint un pic de luminosité, dû à l’embrasement de l’hélium dans son cœur. Le pic du sommet des géantes rouges se produit toujours au même moment. « On peut prédire la distance grâce à la différence entre le flux maximum observé de cette géante rouge et ce qu’on attend être son flux absolu si elle était dans notre galaxie », explicite Mickaël Rigault. « Ce que fait alors Wendy Freedman, c’est changer la méthode de ca
Des étoiles jeunes aux étoiles en fin de vie
libration des supernovae, en passant des céphéides aux géantes rouges ». L’intérêt des géantes rouges est qu’on les trouve partout dans les galaxies, et à des endroits où les étoiles sont complétement dispersées. Elles sont donc beaucoup plus simples à observer, et la mesure qui sera établie sera plus fiable, car il n’y aura pas de perturbations dues à la présence d’autres étoiles. Leur seul désavantage est quelles sont moins lumineuses que les céphéides, donc plus difficiles à repérer.

De nouvelles mesures compatibles

L’étude de Wendy Freedman utilise quatre manières différentes pour calibrer le pic de luminosité des géantes rouges, et celles-ci s’accordent à 1 % de différence. Le résultat est donc relativement fiable. Et celui-ci indique une constante de Hubble de 69,8 km/s/Mpc. La différence de mesure n’est alors pas significative avec les résultats issus de la méthode étudiant le fond diffus cosmologique. Pour Mickaël Rigault, « les intervalles d’erreurs de mesure de chacune des deux méthodes font qu’il n’y aucune raison de penser qu’il y a un problème avec les théories actuelles. » En outre, une étude parue en mars 2021 avait obtenu des résultats similaires en étudiant une supernova, à partir des fluctuations de luminosité de surface. Leur résultat publié dans Astronomy & Astrophysics était alors de 70,50 km/s/Mpc.  Wendy Freedman a également réalisé dans son étude une comparaison de ses résultats avec ceux issus des céphéides, qui demeurent plus élevés. « Le problème se situe donc peut-être au niveau des céphéides », en conclut Mickaël Rigault.

Les récents résultats de Wendy Freedman font ainsi pencher la balance vers l’hypothèse que la tension de Hubble proviendrait d’erreurs de mesures. Ce que confirme Mickaël Rigault : « une des choses que j’ai toujours soutenues, c’est qu’il y a potentiellement trop de problèmes partout pour qu’on puisse envisager une nouvelle physique. On espère tous qu’il y ait de la nouvelle physique, car cela serait passionnant, mais cela n’a pas l’air d’être évident. » La tension pourrait peut-être se dissoudre totalement avec de meilleures données. « Plus de mesures, c’est toujours mieux, mais il nous faudrait surtout des mesures différentes », précise Mickaël Rigault. Les ondes gravitationnelles pourraient ainsi être un nouvel outil intéressant. Elles ne permettent pas encore de mesurer la constante de façon précise, mais en multipliant les données la précision pourrait augmenter. Le mystère de la mesure de la constante de Hubble reste donc toujours à élucider, mais ces nouveaux éléments laissent envisager une possible dissolution de la tension.


Source : Samantha Dizier / La Recherche
Crédit : ESA/Hubble, NASA and H. Olofsson

Une étoile géante rouge en fin de vie, observée grâce au télescope spatial Hubble

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Le 27 décembre 

ATELIER 
"FABRIQUE TA CITÉ !"

Les vendredis après-midi pendant les vacances scolaires, petits et grands bâtisseurs pourront s’essayer à la construction d’une ville romaine avec différents jeux d’architecture : des LEGO®, des KAPLA® et d’autres merveilles encore. Notre équipe vous accompagnera dans cette aventure à partager en famille. Venez redonner vie à notre cité disparue !

EPCC Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


Jusqu'au 5 janvier 2025

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE – LES PORTS ANTIQUES DE NARBONNE"

À travers plus de 150 objets, cette exposition met en valeur les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale, et détaille ses activités et métiers. Cette exposition place le public dans un rôle d'archéologue et lui fait vivre une expérience sensorielle unique.

EPCC Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


2B - Haute-Corse

Jusqu’au 21 décembre 

EXPOSITION
"CORSICA RUMANA, UNE ÎLE MÉDITERRANÉENNE À L’ÉPOQUE ROMAINE"

La problématique de cette grande exposition est de démontrer comment l’espace insulaire et sa population ont été intégrés dans la sphère d’influence romaine entre le IIe siècle avant J.-C. et le IIIe siècle après J.-C. A travers près de 600 objets et documents – pour la plupart inédits – c’est à un véritable voyage sur les traces de la romanité de l’île que les visiteurs sont conviés.

Musée de Bastia
Place du donjon
La Citadelle
20200 Bastia
04 95 31 09 12
https://musee.bastia.corsica


21 - Côte d'Or

Jusqu'au 5 janvier 2025

EXPOSITION 
"OCÉAN, ICI COMMENCE LA VIE"

Une exposition fascinante, captivante pour explorer, observer, découvrir, admirer, comprendre, agir… et prendre conscience de l'importance cruciale de l'océan dans l'équilibre de notre planète.

Le Jardin de l'Arquebuse
1 avenue Albert 1er & 14 rue Jehan de Marville 
21000 Dijon
03 80 48 82 00
www.ma-nature.dijon.fr


25 - Doubs

Jusqu'au 9 mars 2025

EXPOSITION 
"À L'AFFÛT"

À travers son art, le photographe animalier et grand voyageur, exprime ses rêves, ses émotions et ses rencontres en captant l'instant, celui de l’animal au cœur de son environnement. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


26 - Drôme

Jusqu'au 31 janvier 2025

ACTIVITE 3-11 ANS
LA FERME AUX CROCODILES

Le Père Noël est passé chez les crocos… et il est joueur ! Le Père Noël a caché 6 paquets cadeaux dans notre Réserve Tropicale. Les enfants doivent les retrouver et deviner à quel animal appartient chaque cadeau. Des indices et un plan les aideront à mener à bien cette mission !

La Ferme aux Crocodiles
395 allée de Beauplan
26700 Pierrelatte
04 75 04 47 42
www.lafermeauxcrocodiles.com


Du 21 décembre au 5 janvier

ANIMATIONS GRATUITES
LA FERME AUX CROCODILES

10h30 : RDV animalier avec les oiseaux - 11h30 : RDV animalier avec les tortues géantes - 12h00 : Documentaires à l'amphithéatre - 14h00 : RDV animalier avec les iguanes - 15h00 : tout sur le crocodile - 16h00 RDV animalier avec les oiseaux. Contes du Baobab du 21 au 23 décembre. Rencontre avec la mascotte le 24 décembre.

La Ferme aux Crocodiles
395 allée de Beauplan
26700 Pierrelatte
04 75 04 47 42
www.lafermeauxcrocodiles.com


34 - Hérault

Jusqu'au 9 mars 2025

EXPOSITION
"TISSER L'IMAGINAIRE"

Construite en partenariat avec le Mobilier national, l’exposition explore la notion d’Imaginaires dans l’art de la tapisserie. Récit d’aventures imaginaires transposées, illustration de contes et de fables, exploration de sentiments, de visions de l’esprit, représentations d’ailleurs imaginés ou rêvés, l’exposition montre les différentes formes que peut prendre l’imaginaire selon les artistes, les époques.

Musée de Lodève
Square George Auric
34700 Lodève
04 67 88 86 10
www.museedelodeve.fr


37 - Indre et Loire

Jusqu'au 5 janvier

"NOEL AU PAYS DES CHÂTEAUX, CHENONCEAU, UN NOËL DE PORCELAINE"

En partenariat avec la maison Bernadaud, le Château de Chenonceau propose une visite autour de la spécialité de cette famille depuis 5 générations : la porcelaine de Limoges. Découvrez l'association de deux savoirs-faire : la porcelaine et l’art de la table d’un côté et les compositions florales de l’Atelier floral du Château de Chenonceau de l’autre.

Château de Chenonceau
37150 Chenonceaux
02 47 23 44 06
www.chenonceau.com


38 - Isère

Jusqu'au 30 mars 2025

EXPOSITION
"ARCABAS, L’ÉTOFFE HAUTE EN COULEUR"

Outre les toiles de jute et l’impression sur soie que l’on retrouve dans l’église de Saint-Hugues, l’exposition présente des objets textiles conçus par Arcabas. Dans son œuvre picturale dont certains tableaux sont également présentés, les motifs des costumes, les drapés témoignent d’une recherche plastique constante.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


42 - Loire

Jusqu'au 5 janvier 2025

EXPOSITION 
"POUPÉE N’EST PAS JOUER" 

L’exposition est consacrée aux différentes fonctions que peut prendre la poupée dans notre société quand elle n’est plus un simple jouet destiné aux enfants. Elle devient alors support de réflexion et d’analyse sur des phénomènes d’ordre historique, anthropologique, médical, social ou artistique...

Musée d’Allard
13 boulevard de la Préfecture
42600 Montbrison
04 77 96 39 15
www.facebook.com/museeallard


63 - Puy de Dôme

Les 21 & 28 décembre 

STAGE
"CABINET DE CURIOSITÉ"

Participe à un atelier créatif pour réaliser des miniatures inspirées des richesses de notre territoire. Les miniatures réalisées seront intégrées à une exposition collective qui prendra la forme d’un cabinet de curiosités sous cloche. Ce cabinet sera par la suite exposé temporairement au musée Mandet. De 7 à 11 ans le 21 décembre, en famille le 28 décembre.

Musée Mandet 
14 rue de l’hôtel de Ville 
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/musees


Jusqu'au 23 février 2025

EXPOSITIONS
"DOUBLE PARADISO"

L'exposition Double Paradiso a ouvert ses portes. Du jardin des délices à la forêt du Petit chaperon rouge, embarquez pour un voyage imaginaire qui vous mènera dans l'univers captivant de Matteo CIbic, talentueux designer italien. Ses créations hybrides et humoristiques viendront ponctuer votre découverte de l'exposition présentée simultanément au musée Mandet et au Musée régional d'Auvergne.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville - 63200 Riom
Musée régional d’Auvergne
10 bis rue Delille - 63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/musees


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 5 janvier 2025

EXPOSITION MUSÉE LALIQUE
"HAPPY CRISTAL"

Happy Cristal revient chaque mois de décembre pour célébrer les fêtes de fin d’année au musée Lalique. C’est l’occasion, au travers de cette exposition-évènement, de mettre en avant les créations récentes de la cristallerie et de les faire vivre dans des mises en scène qui invitent au rêve, à l’évasion.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


68 - Haut-Rhin

Jusqu'au 30 décembre

MINI-EXPOSITION
“MARTINE, UNE PETITE AMIE DE 70 ANS”

Martine en a bercé des générations de petites lectrices depuis sa premièreaventure en 1954 ! Plus de 120 millions de livres vendus en langue française, 50millions en langues étrangères ! Les textes de Gilbert Delahaye, superbementillustrés par Marcel Marlier, ont rendu Martine la plus populaire des héroïnes denotre enfance. 

La Nef des Jouets
12 rue Jean Jaurès
68360 Soultz
03 89 74 30 92
www.ville-soultz.fr


Jusqu'au 30 décembre

EXPOSITION
"IL Y A 50 ANS : LES PREMIERS PLAYMOBIL®"

Les collectionneurs Frédéric Roy et Eddy Barrois présentent plusieurs dioramas sur des thèmes divers : l’espace, le Moyen-Age, les travaux publics, le Far-West, le cirque, les pompiers. Exposition de plus de 800 références et d’une trentaine de prototypes de 1974  à la fin des années 1980. Ouvert tous les jours sauf les mardis, de 14 h à 18 h.

La Nef des Jouets
12 rue Jean Jaurès
68360 Soultz
03 89 74 30 92
www.ville-soultz.fr


71 - Saône et Loire

Jusqu'au 24 décembre

EXPOSITION
"LE CHAROLAIS, UN PAYSAGE DE BOCAGE"

Installée au dernier étage de la Maison du Charolais, cette exposition retrace l'histoire du bocage charolais, sa composition, son rôle et les enjeux de sa préservation pour la faune et la flore, ainsi que pour les habitants de ce beau territoire rural.

La Maison du Charolais
43 route de Mâcon (RCEA N79 sortie 12)
71120 Charolles
03 85 88 04 00
www.maison-charolais.com


75 - Paris

Les 21 & 28 décembre

"ATELIERS EN FAMILLE"
MUSÉE DES PLANS-RELIEFS

Le 21 décembre : "Les p’tites histoires du Mont Saint-Michel" (6-8 ans). Pour écouter les histoires et légendes du Mont Saint-Michel et réaliser en famille une petite carte pop-up du Mont.
Le 28 décembre : "Ma ville en plan-relief" (6-12 ans). Pour découvrir les techniques de fabrication des maquettes dans le musée et réaliser un plan-relief géant collectif en atelier. Peinture, feutres, cartons et imagination seront au rendez-vous !

Musée des Plans-Reliefs
129 rue de Grenelle 
Hôtel des Invalides    
75007 Paris    
01 45 51 92 45
www.museedesplansreliefs.culture.fr


Jusqu'au 22 février 2025

EXPOSITION
"CLEMENCEAU CROQUÉ PAR SEM"

Le parcours de l’exposition-focus présente les débuts artistiques de Sem, le chroniqueur de la Belle Époque. Le parcours aborde sa carrière dans la presse et sa brève collaboration avec Clemenceau en 1913. Au moment où la guerre éclate, Sem devient correspondant de guerre pour plusieurs journaux et profite de cette période pour peaufiner l’imagerie clemenciste.

Musée Clemenceau
8 rue Benjamin Franklin
75116 Paris
01 45 20 53 41
https://musee-clemenceau.fr


Jusqu'au 11 mai 2025

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


77 - Seine et Marne

Jusqu'au 5 janvier

"LE GRAND NOEL"
VAUX-LE-VICOMTE

Vaux-le-Vicomte vous invite à plonger dans l’univers des contes pour sa nouvelle édition du Grand Noël. Entre décors somptueux, feux de cheminée et projections monumentales, laissez-vous émerveiller. 
Une expérience magique pour toute la famille en compagnie de Casse-Noisette, Blanche Neige ou encore Alice au Pays des Merveilles. 

Château de Vaux-le-Vicomte
77950 Maincy
https://vaux-le-vicomte.com


84 - Vaucluse

Jusqu'au 31 décembre 

EXPOSITION 
"CIRCUIT COURT"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 30 avril 2025

EXPOSITION 
"LES LIEUX IMAGINAIRES" 

A travers le travail de quelques artistes et architectes, nous nous interrogerons sur les façons et les lieux où nous vivrons dans l’avenir. Entre vénération du présent, visions futuristes et perspectives révolutionnaires offertes par l’intelligence artificielle, il s'agira de scénarios pour les nouvelles générations, fondés sur une profonde compréhension du passé.  

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com


88 - Vosges

Jusqu'au 31 décembre

"LA FORÊT ENCHANTÉE DES CRÉATEURS"
EPINAL

Pour Noël, la galerie du Bailli devient une forêt enchantée. Cette balade féérique vous invite à explorer un marché de Noël dans un décor naturel et poétique où vous retrouverez des créations uniques.

Office de Tourisme
6 place Saint-Goëry
88000 Epinal
03 29 82 53 32
www.tourisme-epinal.com

Lieux:

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