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Au Soudan du Sud, la révélation d’un Eden inexploré de la biodiversité
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Au Soudan du Sud, la révélation d’un Eden inexploré de la biodiversité

Boma - Soudan du Sud. Le petit avion vire brusquement pour revenir survoler les plaines. Le pilote a aperçu quelque chose loin en dessous: une antilope, puis plusieurs, l’arrière-garde d’une migration de plus d’un million d’animaux sur cette immensité sauvage.

D’autres merveilles se cachent dans la savane. Trois girafes nubiennes, extrêmement rares, marchent pesamment, projetant leur ombre gigantesque sur les herbes.

« Il n’en reste plus que quelques centaines dans le monde. Alors vous voyez quelque chose de spectaculaire », remarque Albert Schenk, de l’ONG Wildlife Conservation Society (WCS), en sondant du regard cette vaste étendue.

Nous sommes au Soudan du Sud, l’un des jardins d’Éden de la faune et de la flore africaines, un lieu d’une incroyable biodiversité coincé entre les jungles tropicales et les déserts arides et désolés du continent.

Mais aussi un paysage rarement vu par des étrangers. Les guerres civiles ont laissé le Soudan du Sud quasiment sans routes bitumées ni aérodromes. Le pays est de la taille de la France mais de larges pans en restent isolés et impénétrables.

Il abrite parmi les habitats sauvages les moins explorés d’Afrique mais aussi les plus beaux: la plus grande zone humide d’Afrique, le Sud et la plus grande savane préservée du continent, une interminable étendue sauvage située à l’est du Nil blanc, qui court jusqu’en Ethiopie.

Cette savane, un écosystème large de 95.000 km², soit la taille d’un pays comme la Hongrie, est traversée chaque année par quelque 1,2 million d’antilopes et de gazelles, d’immenses troupeaux qui laissent sur la prairie les sillons de leur passage visibles du ciel.

En terme d’ampleur, ce déplacement n’est dépassé que par la grande migration de gnous entre les parcs du Serengeti, en Tanzanie, et du Masai Mara, au Kenya. Les lions, les éléphants et la myriade d’autres espèces emblématiques et menacées qui peuplent cette savane ont survécu à des décennies de guerre et au braconnage.

Une faune menacée

« Il y a encore des animaux sauvages au Soudan du Sud », déclare à l’AFP Alfred Akwoch Omoli, qui jusqu’en février était ministre du Tourisme. « D’autres pays nous envieraient de tels animaux », dit-il.

Ce patrimoine naturel est sous menace constante et les efforts de conservation, quand ils existent, sont difficiles et dangereux. Les scientifiques et les rangers font face à des milices rebelles et des braconniers bien armés, sur un territoire isolé que le gouvernement central est trop faible pour contrôler.

Environ 15% de la superficie du pays sont consacrés aux parcs nationaux et réserves, des espaces en théorie protégés par la loi. Mais les services de défense de la faune et la flore ont des moyens financiers et humains trop limités pour surveiller ces immenses étendues.

Ce jour, avant l’épidémie de nouveau coronavirus où une équipe de l’AFP pénètre dans le parc national de Boma, aux confins est du pays, des rangers déplient deux peaux de léopard saisies auprès d’un homme de la région qui avait pris les félins dans un piège.

« Avant, il y avait une riche faune ici, qui vivait proche des communautés », raconte à l’AFP William Til, le directeur par intérim du parc national de Boma.

« Avant la guerre, les gens utilisaient des chiens, des lances et attrapaient quelques animaux », dit-il. « Ils se satisfaisaient de ça. Mais aujourd’hui, avec les fusils automatiques, c’est plus dur pour les animaux. Des espèces plus grosses ont disparu de la zone », ajoute-t-il.

Pendant les décennies de guerre qui ont précédé l’indépendance du sud du reste du Soudan, en 2011, les zèbres et rhinocéros ont été chassés jusqu’à l’extinction.

Les antilopes et les girafes ont été massacrées pour nourrir les soldats. Abattus pour leur précieux ivoire qui a permis de financer le conflit, les éléphants ne sont plus qu’environ 2.000, contre 80.000 il y a 50 ans.

Développer l’écotourisme

Protéger la faune locale n’est pas la première des priorités dans un pays qui tente péniblement de s’extirper de six années de guerre ayant fait plus de 380.000 morts. Mais le gouvernement comprend les bénéfices qu’il y a à en tirer.

L’économie sud-soudanaise, ou ce qu’il en reste, repose presque entièrement sur le pétrole. Le développement d’autres secteurs susceptibles de créer des emplois et des revenus, comme la conservation de la nature ou l’écotourisme, est donc crucial pour l’avenir, estime M. Omoli.

« Qu’est-ce que cela permet? Cela amène les touristes (…) Ils paieront et cet argent sera utilisé pour le développement », résume-t-il.

Avant l’indépendance, seuls quelques aventuriers ont tenté la destination du Soudan du Sud. Le temps des vrais touristes remonte à avant la guerre civile avec le Soudan (1983-2005).

Aujourd’hui, le Soudan du Sud souhaite s’inspirer de ses voisins ougandais et rwandais. Ces deux pays ont aussi connu des conflits meurtriers mais sont aujourd’hui des destinations prisées des touristes.

Mais, même si la paix persiste, il faudra des années voire des décennies pour faire émerger un secteur touristique réellement viable. Cela nécessitera d’importants investissements, que le gouvernement risque de ne pas pouvoir se permettre dans l’immédiat, surtout en cette période de pandémie.

Maintenir la paix et la sécurité sera primordial pour la préservation de la faune et son habitat, estime M. Schenk. Des années d’efforts de WCS à Boma ont été réduits à néant quand la guerre a éclaté en 2013. Les rangers se sont enfuis et le directeur du parc à l’époque a été exécuté. Le camp de WCS, un centre de recherches établi en 2008, a été « complètement pillé », se remémore M. Schenk. « Il ne restait rien d’autre que les dalles en béton sur lesquelles nous posions nos tentes de safari. Nous avons dû tout reconstruire », dit-il.

Un accord de paix signé en septembre 2018 a largement mis fin aux combats, même s’ils continuent en certains endroits du pays. Des photos aériennes et des pièges photographiques ont depuis permis de montrer que tout espoir n’était pas perdu pour la nature sud-soudanaise.

Amener le développement

La faune s’est adaptée, se cachant dans d’immenses zones marécageuses ou des forêts impénétrables. Les larges colonnes d’antilopes et de gazelles ont continué à circuler.

Ces dernières années, des espèces rares comme le bongo, le lycaon ou le colobe rouge, ont été photographiées par le groupe de défense de l’environnement Fauna and Flora International.

« Il y a bien des choses là dehors que nous n’avons pas encore vues », souligne M. Schenk.

En 2019, le gouvernement américain a donné 7,6 millions de dollars (7 millions d’euros) pour un programme triennal destiné à protéger la faune et stimuler le développement économique dans l’espace Boma-Bandingilo, notamment au travers de l’écotourisme.

WCS a contribué à établir une législation qui fait du corridor migratoire entre les parcs nationaux de Boma et Bandingilo une zone protégée. Selon M. Schenk, c’est une avancée considérable car cette zone, riche en pétrole et minéraux, suscite beaucoup de convoitises.

Quant à M. Til, il se raccroche à l’espoir que les efforts de conservation viendront un jour « aider à amener le développement » dans cet endroit isolé.

Source : AFP
Crédit : AFP TONY KARUMBA

Vue aérienne sur le parc national de Boma au Soudan du Sud.

Au Soudan du Sud, la révélation d’un Eden inexploré de la biodiversité Actualités

Au Soudan du Sud, la révélation d’un Eden inexploré de la biodiversité

Boma - Soudan du Sud. Le petit avion vire brusquement pour revenir survoler les plaines. Le pilote a aperçu quelque chose loin en dessous: une antilope, puis plusieurs, l’arrière-garde d’une migration de plus d’un million d’animaux sur cette immensité sauvage.

D’autres merveilles se cachent dans la savane. Trois girafes nubiennes, extrêmement rares, marchent pesamment, projetant leur ombre gigantesque sur les herbes.

« Il n’en reste plus que quelques centaines dans le monde. Alors vous voyez quelque chose de spectaculaire », remarque Albert Schenk, de l’ONG Wildlife Conservation Society (WCS), en sondant du regard cette vaste étendue.

Nous sommes au Soudan du Sud, l’un des jardins d’Éden de la faune et de la flore africaines, un lieu d’une incroyable biodiversité coincé entre les jungles tropicales et les déserts arides et désolés du continent.

Mais aussi un paysage rarement vu par des étrangers. Les guerres civiles ont laissé le Soudan du Sud quasiment sans routes bitumées ni aérodromes. Le pays est de la taille de la France mais de larges pans en restent isolés et impénétrables.

Il abrite parmi les habitats sauvages les moins explorés d’Afrique mais aussi les plus beaux: la plus grande zone humide d’Afrique, le Sud et la plus grande savane préservée du continent, une interminable étendue sauvage située à l’est du Nil blanc, qui court jusqu’en Ethiopie.

Cette savane, un écosystème large de 95.000 km², soit la taille d’un pays comme la Hongrie, est traversée chaque année par quelque 1,2 million d’antilopes et de gazelles, d’immenses troupeaux qui laissent sur la prairie les sillons de leur passage visibles du ciel.

En terme d’ampleur, ce déplacement n’est dépassé que par la grande migration de gnous entre les parcs du Serengeti, en Tanzanie, et du Masai Mara, au Kenya. Les lions, les éléphants et la myriade d’autres espèces emblématiques et menacées qui peuplent cette savane ont survécu à des décennies de guerre et au braconnage.

Une faune menacée

« Il y a encore des animaux sauvages au Soudan du Sud », déclare à l’AFP Alfred Akwoch Omoli, qui jusqu’en février était ministre du Tourisme. « D’autres pays nous envieraient de tels animaux », dit-il.

Ce patrimoine naturel est sous menace constante et les efforts de conservation, quand ils existent, sont difficiles et dangereux. Les scientifiques et les rangers font face à des milices rebelles et des braconniers bien armés, sur un territoire isolé que le gouvernement central est trop faible pour contrôler.

Environ 15% de la superficie du pays sont consacrés aux parcs nationaux et réserves, des espaces en théorie protégés par la loi. Mais les services de défense de la faune et la flore ont des moyens financiers et humains trop limités pour surveiller ces immenses étendues.

Ce jour, avant l’épidémie de nouveau coronavirus où une équipe de l’AFP pénètre dans le parc national de Boma, aux confins est du pays, des rangers déplient deux peaux de léopard saisies auprès d’un homme de la région qui avait pris les félins dans un piège.

« Avant, il y avait une riche faune ici, qui vivait proche des communautés », raconte à l’AFP William Til, le directeur par intérim du parc national de Boma.

« Avant la guerre, les gens utilisaient des chiens, des lances et attrapaient quelques animaux », dit-il. « Ils se satisfaisaient de ça. Mais aujourd’hui, avec les fusils automatiques, c’est plus dur pour les animaux. Des espèces plus grosses ont disparu de la zone », ajoute-t-il.

Pendant les décennies de guerre qui ont précédé l’indépendance du sud du reste du Soudan, en 2011, les zèbres et rhinocéros ont été chassés jusqu’à l’extinction.

Les antilopes et les girafes ont été massacrées pour nourrir les soldats. Abattus pour leur précieux ivoire qui a permis de financer le conflit, les éléphants ne sont plus qu’environ 2.000, contre 80.000 il y a 50 ans.

Développer l’écotourisme

Protéger la faune locale n’est pas la première des priorités dans un pays qui tente péniblement de s’extirper de six années de guerre ayant fait plus de 380.000 morts. Mais le gouvernement comprend les bénéfices qu’il y a à en tirer.

L’économie sud-soudanaise, ou ce qu’il en reste, repose presque entièrement sur le pétrole. Le développement d’autres secteurs susceptibles de créer des emplois et des revenus, comme la conservation de la nature ou l’écotourisme, est donc crucial pour l’avenir, estime M. Omoli.

« Qu’est-ce que cela permet? Cela amène les touristes (…) Ils paieront et cet argent sera utilisé pour le développement », résume-t-il.

Avant l’indépendance, seuls quelques aventuriers ont tenté la destination du Soudan du Sud. Le temps des vrais touristes remonte à avant la guerre civile avec le Soudan (1983-2005).

Aujourd’hui, le Soudan du Sud souhaite s’inspirer de ses voisins ougandais et rwandais. Ces deux pays ont aussi connu des conflits meurtriers mais sont aujourd’hui des destinations prisées des touristes.

Mais, même si la paix persiste, il faudra des années voire des décennies pour faire émerger un secteur touristique réellement viable. Cela nécessitera d’importants investissements, que le gouvernement risque de ne pas pouvoir se permettre dans l’immédiat, surtout en cette période de pandémie.

Maintenir la paix et la sécurité sera primordial pour la préservation de la faune et son habitat, estime M. Schenk. Des années d’efforts de WCS à Boma ont été réduits à néant quand la guerre a éclaté en 2013. Les rangers se sont enfuis et le directeur du parc à l’époque a été exécuté. Le camp de WCS, un centre de recherches établi en 2008, a été « complètement pillé », se remémore M. Schenk. « Il ne restait rien d’autre que les dalles en béton sur lesquelles nous posions nos tentes de safari. Nous avons dû tout reconstruire », dit-il.

Un accord de paix signé en septembre 2018 a largement mis fin aux combats, même s’ils continuent en certains endroits du pays. Des photos aériennes et des pièges photographiques ont depuis permis de montrer que tout espoir n’était pas perdu pour la nature sud-soudanaise.

Amener le développement

La faune s’est adaptée, se cachant dans d’immenses zones marécageuses ou des forêts impénétrables. Les larges colonnes d’antilopes et de gazelles ont continué à circuler.

Ces dernières années, des espèces rares comme le bongo, le lycaon ou le colobe rouge, ont été photographiées par le groupe de défense de l’environnement Fauna and Flora International.

« Il y a bien des choses là dehors que nous n’avons pas encore vues », souligne M. Schenk.

En 2019, le gouvernement américain a donné 7,6 millions de dollars (7 millions d’euros) pour un programme triennal destiné à protéger la faune et stimuler le développement économique dans l’espace Boma-Bandingilo, notamment au travers de l’écotourisme.

WCS a contribué à établir une législation qui fait du corridor migratoire entre les parcs nationaux de Boma et Bandingilo une zone protégée. Selon M. Schenk, c’est une avancée considérable car cette zone, riche en pétrole et minéraux, suscite beaucoup de convoitises.

Quant à M. Til, il se raccroche à l’espoir que les efforts de conservation viendront un jour « aider à amener le développement » dans cet endroit isolé.

Source : AFP
Crédit : AFP TONY KARUMBA

Vue aérienne sur le parc national de Boma au Soudan du Sud.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

► Jusqu'au 5 mai

"ATELIERS JEUNES PUBLICS"
MUSEE DU QUERCORB

Mercredi à 10h30 : Couronne de fleurs - Fabrique ta propre couronne de fleurs et transforme-toi en princesse enchantée. Jeudi à 10h30 : Blason - Découvre ton animal héraldique et crée ton blason médiéval
Ateliers de 5 à 11 ans - Durée 1h30 - Sur réservation.

Musée du Quercorb
16 rue Barry du Lion 
11230 Puivert
04 68 69 81 51
www.museequercorb.com


► En mai

"VISITES CONTÉES ET CHANTÉES"
MUSEE DU QUERCORB

Avec Rachel. 5€ adulte - 2 € enfant. Jeudi 9 mai à 18h : Aude Mystères - Contes de fées… à nous faire frissonner ! / Vendredi 10 mai à 18h : De l’utilité à la beauté - Histoires d’art et d’artisanat / Dimanche 12 mai à 11h : Contes et légendes en Occitanie - Camins e cants.

Musée du Quercorb
16 rue Barry du Lion 
11230 Puivert
04 68 69 81 51
www.museequercorb.com


► Jusqu'en novembre

EXPOSITION 
"CARTES ÉNERGÉTIQUES D'URS ZIMMERMANN"

Urs Zimmermann (1954-2022) était essentiellement sculpteur. Le village de Rennes-le-Château, où il avait élu domicile, expose toute l'année ses sculptures. Jusqu'en novembre, ce sont ses lectures énergétiques de certains lieux, transcris en dessins, qui sont exposées. Accessible avec le billet d'entrée du Domaine, tarif normal : 6 €.

Domaine et musée de l’Abbé Saunière
Rue de l’église 
11190 Rennes-le-Château
04 68 74 05 84
tourisme.rlc@orange.fr
www.rennes-le-chateau.fr


12 - Aveyron

► Jusqu'au 2 novembre 2025

EXPOSITION  
"LA VILLE MÉDIÉVALE, UN JEU D'ENFANT"

Parcourez la nouvelle exposition du Pays d'art et d'histoire à la découverte des trois formes urbaines du Moyen Âge : la sauveté, le bourg castral et la bastide. Cette exposition ludique et immersive, adaptée à tous les âges, vous fera remonter le temps en vous glissant dans la peau d'un moine, d'un chevalier ou d'un marchand. 

Maison du Gouverneur
1 rue du château
12270 Najac
05 65 81 94 47
https://maisondugouverneur-najac.fr


► Le 30 octobre

ATELIER EN FAMILLE ET JEUNE PUBLIC
"RECYCLAGE ASTUCIEUX ET PAPIER MÂCHÉ"

En peu de temps et tout autant d'imagination, à partir d'emballages, de contenants plastiques et autres déchets à recycler, vous pourrez créer le personnage de votre choix, inspiré du Moyen Âge ou pas, bâtir un royaume ou donner vie à un animal. 

Maison du Gouverneur
1 rue du château
12270 Najac
05 65 81 94 47
https://maisondugouverneur-najac.fr


17 - Charente Maritime

► Jusqu'au 5 mai

ATELIERS ET JEU DE PISTE
"LE DERNIER GUÉRISSEUR" 

Ateliers créatifs : laisse parler ta créativité lors d’ateliers de Land-Art : herbiers, couronnes végétales, etc. Des activités botaniques, ludiques et artistiques en plein air. Tous les jours à 11h pendant les vacances scolaires toutes zones. Jeux de piste à faire en famille : "Quelle plante a empoisonné le chef de la tribu Neandertal ?".

Le Paléosite
Route de la Montée Verte 
17770 Saint-Césaire
05 46 97 90 90
https://paleosite.fr


2A - Corse du Sud

► Jusqu'au 9 mai

"ATELIERS CRÉATIFS" 
PARC DE SALECCIA 

Entre 14h et 17h, durée environ 1/2 heure. Marque-page floral : mercredis 10, 17, 24 avril, 1er et 8 mai. Guirlande bois et coquillages : jeudis 11, 18, 25 avril, 2 et 9 mai. 
Ateliers (à partir de 4 ans) offerts aux visiteurs et abonnés du Parc. Sans réservation.

Lieu dit Saleccia
Route de Bastia 
20220 Ile-Rousse
04 95 36 88 83
www.parc-saleccia.fr


21 - Côte d'Or

► Jusqu'au 5 janvier 2025

EXPOSITION 
"OCÉAN, ICI COMMENCE LA VIE"

Une exposition fascinante, captivante pour explorer, observer, découvrir, admirer, comprendre, agir… et prendre conscience de l'importance cruciale de l'océan dans l'équilibre de notre planète.

Le Jardin de l'Arquebuse
1 avenue Albert 1er & 14 rue Jehan de Marville 
21000 Dijon
03 80 48 82 00
www.ma-nature.dijon.fr


25 - Doubs

► Du 4 mai au 9 mars 2025

EXPOSITION 
"À L'AFFÛT"

À travers son art, le photographe animalier et grand voyageur, exprime ses rêves, ses émotions et ses rencontres en captant l'instant, celui de l’animal au cœur de son environnement. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


30 - Gard

► Les 4 & 5 mai

"TRAIL DES AVENS"
GROTTE DE LA SALAMANDRE

le Trail des Avens promet de faire vibrer la grotte au rythme du pas des coureurs. Pour ceux préférant l'admiration à l'effort, profitez de notre offre spéciale accompagnants pour une exploration libre entre 9h et 13h.

Grotte de la Salamandre
30430 Méjannes le Clap
04 66 600 600
www.grottedelasalamandre.com


► Le 19 mai

"MESSE DE LA PENTECÔTE ANTON DVORAK"
GROTTE DE LA SALAMANDRE

Profitons ensemble de l'acoustique étonnante de la Grotte avec un concert exceptionnel : la Messe en Ré Majeur d'Antonin Dvořák, une œuvre sacrée remarquable du répertoire choral.

Grotte de la Salamandre
30430 Méjannes le Clap
04 66 600 600
www.grottedelasalamandre.com


► Du 4 mai au 30 septembre

EXPOSITION
"AIGA, L'EAU SOURCE D'INSPIRATION"

Une exposition dans laquelle les regards du photographe croisent ceux d'une peintre, d'une aquarelliste, d'une céramiste et de plasticiens. Face aux enjeux de l'eau, ces artistes ont pour but de créer de l'émotion et faire découvrir leur vision de cette eau source de vie, source d'énergie, source de débats.... 

La Maison de l'eau
30122 Les Plantiers
04 66 30 36 55 / 04 66 25 83 41
https://caussesaigoualcevennes.fr/la-maison-de-l-eau


31 - Haute Garonne

► Jusqu’au 22 septembre 

EXPOSITION 
"ANATOMIE DU FRANQUISME"

La nouvelle exposition du musée de la Résistance & de la Déportation traite des fondations sur lesquelles s'est construite cette dictature de quarante ans, fondations assombries et défigurées par les discours du régime lui-même et qui interrogent l'imaginaire collectif européen. 

Musée Départemental de la Résistance et de la Déportation
52 allée des Demoiselles
31400 Toulouse
05 34 33 17 40
http://musee-resistance.haute-garonne.fr


33 - Gironde

► Jusqu'au 24 septembre 

EXPOSITION 
"RECYCL'ART"

Marques et Emballages, développement durable et valorisation par le tri. Cette exposition sans cesse enrichie met en valeur l’histoire des grandes marques françaises à travers des objets, des affiches et des documents historiques. Ces emballages amènent également à réveiller la mémoire du passé industriel de la Papeterie de Beautiran.

Musée des Techniques
5 rue de Balambits
33640 Beautiran
05 57 97 75 11
www.villamaglya.fr


37 - Indre et Loire

► Jusqu'au 30 septembre

EXPOSITION 
"LES CHEFS D’OEUVRE DE LÉONARD DE VINCI EN GRAVURES"
dans les collections de la BnF  

La Joconde n'a pas toujours été l'œuvre la plus renommée de Léonard de Vinci. Découvrez la Cène de Santa Maria delle Grazie ainsi qu'une trentaine de l'artiste.

Château royal d’Amboise 
Montée de l’Emir Abd el Kader
37400 Amboise
02 47 57 00 98
www.chateau-amboise.com


► Jusqu'au 11 novembre

EXPOSITION
"LES SIEGES FRANÇAIS AU 18ÈME"

Ussé, le Château de la Belle au Bois Dormant vous présente l'histoire des sièges français au 18ème, une mini exposition entre esthétique et technique. Profitez de votre visite pour découvrir l’ouverture d’une nouvelle salle : le cabinet oriental.

Château d’Ussé
37420 Rigny-Ussé
02 47 95 54 05
www.chateaudusse.fr


38 - Isère

► Jusqu'au 30 mars 2025

EXPOSITION
"ARCABAS, L’ÉTOFFE HAUTE EN COULEUR"

Outre les toiles de jute et l’impression sur soie que l’on retrouve dans l’église de Saint-Hugues, l’exposition présente des objets textiles conçus par Arcabas. Dans son œuvre picturale dont certains tableaux sont également présentés, les motifs des costumes, les drapés témoignent d’une recherche plastique constante.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


42 - Loire

► Jusqu'au 22 septembre

EXPOSITION 
"INDONÉSIE RÉVÉLÉE"

Région d’une grande complexité culturelle, le pays se compose de 1100 de groupes ethniques différents.
Les collections ramenées par Daniel Pouget de ses voyages, notamment des îles de Bornéo, Sumatra et Sulawesi, nous dévoilent l’extraordinaire richesse des traditions et cultures des îles d’Indonésie.  

Musée des Civilisations Daniel Pouget
Place Madeleine Rousseau
42170 Saint-Just-Saint-Rambert
04 77 52 03 11
musee@stjust-strambert.com


► Jusqu'au 29 septembre 

EXPOSITION
"L'ART DES AFFICHISTES"

Après un premier volet d’octobre 2022 à février 2023 sur l’art des affichistes de cinéma de 1930 à 1960… voici un second volet consacré à la période 1960-2023.

Ecomusée des Monts du Forez
Place Alex Folléas 
42550 Usson en Forez 
04 77 50 68 87 
www.ecomusee-usson-en-forez.fr


47 - Lot et Garonne

► Les 4 & 5 mai

"6ÈME ANNIVERSAIRE DU CONSERVATOIRE RURAL DE GASCOGNE"

Présence de collectionneurs extérieurs. Le dimanche (entrée gratuite) : vide-greniers organisé par l'Assaut des Assos. Réservation emplacement au
06 31 94 01 47.
Restauration sur place. Parking gratuit. Ouvert en continu de 9h à 18h. Tarif d'entrée : 6€/personne | gratuit pour les enfants jusqu'à 12 ans inclus.

Conservatoire Rural de Gascogne
36 boulevard Victor Hugo
47700 Casteljaloux
06 07 59 35 43 / 06 07 85 20 25
www.tracteursanciens.fr


63 - Puy de Dôme

► Jusqu'au 5 mai

EXPOSITION    
"GUÉRIN INTIME, GUÉRIN ILLUSTRE"

À l’occasion du 250e anniversaire de la naissance du peintre néoclassique Pierre-Narcisse Guérin (1774-1833), le musée Mandet présentera un ensemble inédit d’œuvres et d’objets personnels de l’artiste né d’une famille d’origine auvergnate. L’occasion de célébrer et de remettre en lumière ce peintre, maître de Géricault et de Delacroix !

 Musée Mandet
14 rue de L'Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 17 31
www.rlv.eu/decouvrir/musees-1


► Le 18 mai

MUSÉE MANDET
NUIT EUROPÉENNE DES MUSÉES

La 20e édition de la Nuit européenne des musées sera placée sous le signe de la magie aux musée Mandet et régional d’Auvergne de Riom qui ouvriront gratuitement leurs portes le samedi 18 mai, de 18 h à minuit. Déambulations magiques, visites à la lampe torche, exposition mais aussi projections et ateliers sont au programme pour ravir petits et grands.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees-1


70 - Haute-Saône

► Jusqu'au 15 novembre 

EXPOSITION
"JE MANGE, DONC JE SUIS" 

L'Écomusée présente une exposition intitulée conçue par le musée de l’Homme, un site du Muséum national d’Histoire naturelle. Elle aborde un sujet ô combien important : l’alimentation, pour découvrir ses aspects biologiques, culturels et écologiques. 

Ecomusée du Pays de la Cerise
206 Le Petit Fahys
70220 Fougerolles-Saint-Valbert
03 84 49 52 50
http://ecomusee-fougerolles.fr


71 - Saône et Loire

► Jusqu'au 3 novembre

EXPOSITION
"PLANTES ET LÉGENDES"

Plantesaux vertus prodigieuses, arbres mythiques, herbes magiques, fleurs ensorcelantes, potions de sorcières ou philtres d’amour, découvrez,à travers cette exposition, la profonde connexion entre l’homme et la nature ainsi que la manière dont elle a toujours joué un rôle central dans notre culture et imagination.

Centre EDEN
26 rue de l’Eglise
71290 Cuisery
03 85 27 08 00
www.centre-eden71.fr


► Jusqu'au 24 décembre

EXPOSITION
"LE CHAROLAIS, UN PAYSAGE DE BOCAGE"

Installée au dernier étage de la Maison du Charolais, cette exposition retrace l'histoire du bocage charolais, sa composition, son rôle et les enjeux de sa préservation pour la faune et la flore, ainsi que pour les habitants de ce beau territoire rural.

La Maison du Charolais
43 route de Mâcon (RCEA N79 sortie 12)
71120 Charolles
03 85 88 04 00
www.maison-charolais.com


75 - Paris

► Jusqu'au 14 août

EXPOSITION
"CLÉMENCEAU ET LE SPORT"

A l’occasion des Jeux Olympiques de Paris 2024, le musée Clemenceau présente exposition-focus. Georges Clemenceau aimait le sport. Qui l’eut cru ! Cette nouvelle exposition évoque le goût du Tigre pour la chasse et les longues randonnées, tout comme l’équitation, l’épée, le cyclisme, la gymnastique et le tir.

Musée Clemenceau
8 rue Benjamin Franklin
75116 Paris
01 45 20 53 41
www.musee-clemenceau.fr


76 - Seine-Maritime

► Le 4 mai 

CHÂTEAU DE MIROMESNIL
"JOURNÉE “GRATTE TA BRIQUE” 

Venez au château de Miromesnil aider au nettoyage des briques pour commencer la reconstruction du mur du XVIIè siècle qui s'est effondré. Verre de jus de pomme et briquette en chocolat offerts ! Recyclage  et récupération de briques des 17 et 18ème siècle. Entrée gratuite. Pas besoin de réserver.

Château de Miromesnil
76550 Tourville-sur-Arques
02 35 85 02 80
www.chateaumiromesnil.com


84 - Vaucluse

► Jusqu'au 31 mai 

EXPOSITION
"OCEAN"

L’océan est un vaste monde qui ne cesse de nous fasciner et qu’il convient de comprendre, d’étudier, de préserver et d’admirer. Cette exposition présente quatre artistes qui contribuent, par leurs approches artistiques, à cette réflexion et cette prise de conscience.
les photographes Rachael Talibart et Henley Spiers, les graveurs Hélène Baumel et Jean Chièze.

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com


► Jusqu'au 16 juin

EXPOSITION 
"JEANNE COQUARD" 

Portraits d’enfants et d’amis, peints au fil des jours et des saisons, dans la lumière changeante qui traverse sa maison toujours ouverte, peuplent l’œuvre de Jeanne Coquard qui partagea sa vie avec le peintre Jean-Claude Imbert (1919-1993).

Musée Louis Vouland
17 rue Victor Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


► Jusqu'au 31 décembre 

EXPOSITION 
"CIRCUIT COURT"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


89 - Yonne

► Le 26 mai

ACTIVITÉS SENSORIELLES 
"VIN ET PARFUM"

La Cité des Climats et vins de Bourgogne vous fait plonger pendant 2h dans un univers olfactif unique mêlant dégustation de vin et art de la parfumerie. Au programme : découverte des arômes des vins, dégustation sensorielle, création de son propre parfum, et plus encore.(Alternative pour les mineurs et les non-buveurs d'alcool).

Cite de Beaune
https://reservation.citeclimatsvins-bourgogne.com

Lieux:

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