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Électricité statique et taxi-colibri, l'étonnante stratégie des acariens pour se déplacer
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Électricité statique et taxi-colibri, l'étonnante stratégie des acariens pour se déplacer

Les plantes à fleurs tubulaires et de couleur vive sont les grandes favorites des colibris. À l'intérieur de celles-ci se cachent souvent des acariens, prêts à bondir sur ces oiseaux pour les utiliser comme mode de transport naturel, en exploitant les charges électrostatiques qu'ils génèrent en vol. Explications.

Les acariens présents dans les fleurs prisées par les colibris utilisent l'électricité statique pour se déplacer entre les fleurs en s'accrochant aux becs des oiseaux. Ces minuscules arthropodes se nourrissent de nectar et vivent à l'intérieur de fleurs spécifiques. Pour en coloniser de nouvelles, ils doivent trouver un moyen efficace de quitter leur hôte, leur transporteur ailé favori, au bon moment. Mais comment font-ils pour descendre, à chaque fois, précisément sur la première cible touchée par le colibri et ignorer les suivantes ? Cette question a intrigué les scientifiques pendant des années. Une équipe de scientifiques dirigée par Carlos Garcia-Robledo, professeur en écologie et biologie évolutive à l'Université du Connecticut, s'est penchée sur ce phénomène et a publié ses conclusions dans la revue spécialisée PNAS, lundi 27 janvier.

Les chercheurs pensaient initialement que les acariens attendaient un signal olfactif pour détecter leurs potentiels hôtes et sauter au moment opportun. Pourtant, dès les premières expériences en laboratoire, Carlos Garcia-Robledo a remis en doute cette hypothèse. "Je savais que l'odeur ne jouait peut-être pas un rôle majeur, car lorsque nous avons placé les acariens en laboratoire, ils ne semblaient pas réagir aux parfums floraux. Il devait y avoir un autre facteur en jeu", a-t-il expliqué à Uconn Today, le journal de l'Université du Connecticut. Cette observation a poussé l'équipe à explorer d'autres mécanismes, jusqu'à envisager une interaction électrostatique.

Sensibles aux vibrations des battements d'ailes

L'idée est née par hasard. En lisant une étude sur les tiques, l'auteur principal du rapport a découvert qu'elles pouvaient être attirées par des vêtements chargés électrostatiquement. Peu après, lors d'un déjeuner informel au Costa Rica avec ses deux associés dans cette recherche, il leur a partagé une théorie appliquant ce principe aux acariens vivant dans les fleurs. Konstantine Manser, doctorant à l'Université de Bristol, avait justement travaillé avec des chercheurs ayant analysé l'effet de l'électricité statique sur les tiques. Diego Dierick, spécialiste en électronique et chercheur à l'Organisation des Études Tropicales, a immédiatement proposé au duo de tester cette hypothèse.

"Diego et Kosta (Konstantine, ndlr) m'ont dit que ce serait facile à vérifier. Nous avons construit le dispositif le lendemain et l'avons testé dans la foulée sur notre premier groupe d'acariens. Dès que nous avons allumé l'appareil, ils ont immédiatement réagi à la présence d'un champ électrique (ndlr)", a raconté Carlos Garcia-Robledo. Les chercheurs ont découvert que les acariens ne réagissaient pas seulement à une charge statique, mais aussi à un signal oscillant. "Dès que nous avons introduit une modulation de fréquence, ils se sont instantanément dirigés vers la charge positive", a continué la tête du groupe.

En testant la réponse des arthropodes à différentes charges, les trois hommes ont ainsi découvert que ces êtres microscopiques étaient sensibles aux fréquences comprises entre 20 et 160 Hz... qui correspondent aux vibrations des battements d'ailes des colibris.

L'effet de la charge électrique

Ces petits oiseaux génèrent un champ électrostatique en volant, et leur corps accumule une charge positive. Lorsqu'ils touchent une fleur, une différence de potentiel se crée, ce qui semble signaler aux acariens qu'il est temps de descendre. "C'est comme lorsqu'on reçoit une décharge après avoir marché sur une moquette et touché une poignée de porte. La première fleur touchée par le colibri est celle où la différence de charge est la plus marquée, ce qui déclenche le départ des acariens", a précisé Carlos Garcia-Robledo.

En examinant ces acariens plus en détail, les chercheurs ont identifié une structure sensorielle sur leurs pattes avant, qui semble leur permettre de détecter ces signaux électriques. Par ailleurs, chaque espèce d'acarien étant adaptée à un type de fleur, les plantes pourraient avoir une signature électrique distincte, "leur permettant de reconnaître leur habitat idéal". "Pendant quelques millisecondes, ce sont parmi les organismes terrestres les plus rapides jamais observés. Mais ce qui est fascinant, c'est qu'ils n'utilisent pas seulement l'électricité pour trouver leur hôte, mais aussi comme un mécanisme de transport", a conclu avec émerveillement Carlos Garcia-Robledo.


Source : GEO / Elodie Falco
Crédit : GEO

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Électricité statique et taxi-colibri, l'étonnante stratégie des acariens pour se déplacer

Les plantes à fleurs tubulaires et de couleur vive sont les grandes favorites des colibris. À l'intérieur de celles-ci se cachent souvent des acariens, prêts à bondir sur ces oiseaux pour les utiliser comme mode de transport naturel, en exploitant les charges électrostatiques qu'ils génèrent en vol. Explications.

Les acariens présents dans les fleurs prisées par les colibris utilisent l'électricité statique pour se déplacer entre les fleurs en s'accrochant aux becs des oiseaux. Ces minuscules arthropodes se nourrissent de nectar et vivent à l'intérieur de fleurs spécifiques. Pour en coloniser de nouvelles, ils doivent trouver un moyen efficace de quitter leur hôte, leur transporteur ailé favori, au bon moment. Mais comment font-ils pour descendre, à chaque fois, précisément sur la première cible touchée par le colibri et ignorer les suivantes ? Cette question a intrigué les scientifiques pendant des années. Une équipe de scientifiques dirigée par Carlos Garcia-Robledo, professeur en écologie et biologie évolutive à l'Université du Connecticut, s'est penchée sur ce phénomène et a publié ses conclusions dans la revue spécialisée PNAS, lundi 27 janvier.

Les chercheurs pensaient initialement que les acariens attendaient un signal olfactif pour détecter leurs potentiels hôtes et sauter au moment opportun. Pourtant, dès les premières expériences en laboratoire, Carlos Garcia-Robledo a remis en doute cette hypothèse. "Je savais que l'odeur ne jouait peut-être pas un rôle majeur, car lorsque nous avons placé les acariens en laboratoire, ils ne semblaient pas réagir aux parfums floraux. Il devait y avoir un autre facteur en jeu", a-t-il expliqué à Uconn Today, le journal de l'Université du Connecticut. Cette observation a poussé l'équipe à explorer d'autres mécanismes, jusqu'à envisager une interaction électrostatique.

Sensibles aux vibrations des battements d'ailes

L'idée est née par hasard. En lisant une étude sur les tiques, l'auteur principal du rapport a découvert qu'elles pouvaient être attirées par des vêtements chargés électrostatiquement. Peu après, lors d'un déjeuner informel au Costa Rica avec ses deux associés dans cette recherche, il leur a partagé une théorie appliquant ce principe aux acariens vivant dans les fleurs. Konstantine Manser, doctorant à l'Université de Bristol, avait justement travaillé avec des chercheurs ayant analysé l'effet de l'électricité statique sur les tiques. Diego Dierick, spécialiste en électronique et chercheur à l'Organisation des Études Tropicales, a immédiatement proposé au duo de tester cette hypothèse.

"Diego et Kosta (Konstantine, ndlr) m'ont dit que ce serait facile à vérifier. Nous avons construit le dispositif le lendemain et l'avons testé dans la foulée sur notre premier groupe d'acariens. Dès que nous avons allumé l'appareil, ils ont immédiatement réagi à la présence d'un champ électrique (ndlr)", a raconté Carlos Garcia-Robledo. Les chercheurs ont découvert que les acariens ne réagissaient pas seulement à une charge statique, mais aussi à un signal oscillant. "Dès que nous avons introduit une modulation de fréquence, ils se sont instantanément dirigés vers la charge positive", a continué la tête du groupe.

En testant la réponse des arthropodes à différentes charges, les trois hommes ont ainsi découvert que ces êtres microscopiques étaient sensibles aux fréquences comprises entre 20 et 160 Hz... qui correspondent aux vibrations des battements d'ailes des colibris.

L'effet de la charge électrique

Ces petits oiseaux génèrent un champ électrostatique en volant, et leur corps accumule une charge positive. Lorsqu'ils touchent une fleur, une différence de potentiel se crée, ce qui semble signaler aux acariens qu'il est temps de descendre. "C'est comme lorsqu'on reçoit une décharge après avoir marché sur une moquette et touché une poignée de porte. La première fleur touchée par le colibri est celle où la différence de charge est la plus marquée, ce qui déclenche le départ des acariens", a précisé Carlos Garcia-Robledo.

En examinant ces acariens plus en détail, les chercheurs ont identifié une structure sensorielle sur leurs pattes avant, qui semble leur permettre de détecter ces signaux électriques. Par ailleurs, chaque espèce d'acarien étant adaptée à un type de fleur, les plantes pourraient avoir une signature électrique distincte, "leur permettant de reconnaître leur habitat idéal". "Pendant quelques millisecondes, ce sont parmi les organismes terrestres les plus rapides jamais observés. Mais ce qui est fascinant, c'est qu'ils n'utilisent pas seulement l'électricité pour trouver leur hôte, mais aussi comme un mécanisme de transport", a conclu avec émerveillement Carlos Garcia-Robledo.


Source : GEO / Elodie Falco
Crédit : GEO

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


25 - Doubs

Le 14 mars

"LA NUIT DE LA CHOUETTE"

Depuis près de 30 ans, la Nuit de la Chouette vous invite à découvrir les rapaces nocturnes et leur environnement. La LPO (Ligue pour la Protection des Oiseaux) et la Saline royale, refuge LPO vous convie à une belle soirée dédiée à nos compagnons de vie nocturne. Événement gratuit sur réservation, le vendredi 14 mars de 18h15 à 21h00. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


Jusqu'au 30 avril 

EXPOSITION 
"URGENCE CARBONE"

Urgence Carbone, œuvre d’Iris Leroyer réalisée en charbon de bois, symbolise une Terre carbonisée, qui souligne notre inertie face aux dérèglements de notre planète, en péril. Cette œuvre entre ainsi en dialogue avec les projections en grand format des sites du patrimoine mondial dans le Centre de lumières. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


26 - Drôme

Le 29 mars

ATELIER VANNERIE SAUVAGE 

Découvrez l'art de la vannerie sauvage lors de notre session d'initiation animée par Christine Larat-Lini. Vannerie aléatoire à base de ronces, clématite et elaeagnus. 
Places limitées à 6. Tarif : aterier + visite du jardin 25 €. Matériel fourni. Réservation : boutique-erikborja.fr  

Jardin Zen d’Erik Borja
26600 Beaumont-Monteux
04 75 07 32 27 
www.erikborja.fr


38 - Isère

Jusqu'au 30 mars 

EXPOSITION
"ARCABAS, L’ÉTOFFE HAUTE EN COULEUR"

Outre les toiles de jute et l’impression sur soie que l’on retrouve dans l’église de Saint-Hugues, l’exposition présente des objets textiles conçus par Arcabas. Dans son œuvre picturale dont certains tableaux sont également présentés, les motifs des costumes, les drapés témoignent d’une recherche plastique constante.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


52 - Haute-Marne

Le 15 mars

MUSÉE DE SAINT-DIZIER
"NUIT DE LA CHOUETTE" AVEC LE CPIE

De 14h30 à 16h30, découverte des principales espèces de rapaces nocturnes grâce à la collection du Musée et du jeu coopératif "Les petits secouristes" pour sensibiliser le public aux bons gestes à adopter auprès des animaux blessés ou malade. De 19h30 à 21h30, sortie nature dans les bois durant 1h–1h30 pour découvrir la vie nocturne de la forêt : écoute des chants des oiseaux et des bruits de la nuit, découvre des chauves-souris et des amphibiens de nos forêts. 

Réservations
CPIE Pays de Soulaines 
03 25 92 28 33
cpie.emmanuel.fery@gmail.com


Jusqu’au 21 mars

EXPOSITION
"MANGER ET BOIRE À LA TABLE DE NOS ANCÊTRES"

Cette exposition permet au grand public d’approcher le quotidien de nos ancêtres à travers leur vaisselle de table. Elle a pour but de présenter la manière dont on mange et boit à travers les âges. Elle évoque également la place des hommes et des femmes, réservée à cette pratique sociale, avec le matériel et les instruments qui y sont associés. 

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


Du 9 avril au 21 septembre

EXPOSITION
"AOTEAROA NOUVELLE-ZÉLANDE, LES PROTECTEURS DE L’ARCHE PERDUE"

Sabine Bernert vous guidera à la rencontre du rare Kakapo, ce perroquet nocturne au bord de l’extinction, de l’étonnant Kiwi et du mystérieux Tuatara, un reptile aux origines préhistoriques. À travers des récits émouvants et des témoignages inspirants, découvrez le combat quotidien de leurs protecteurs dévoués, déterminés à préserver ces trésors uniques. Un voyage entre légendes et réalités.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


62 - Pas-de-Calais

Du 22 mars au 4 avril

EXPOSITION
"CLUB DE PEINTURE DE BARLIN"

Au Musée Municipal Bruno Danvin, le Club de peinture de Barlin, animé par Laetitia Morez, expose 9 artistes (peinture, pastel, acrylique...).

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
03 21 04 56 25 / 07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


63 - Puy-de-Dôme

Du 15 mars au 18 mai

EXPOSITIONS
"Les extraordinaires aventures de Jean-Pierre Alibert" 
"Le Cabinet de Curiosités de Riom Limagne et Volcans" 
"Attention fragile !"

Le musée Mandet présente trois expositions inédites, mêlant art, histoire et sensibilisation environnementale. À travers ces expositions, vous découvrirez la richesse du monde animal, de l’héritage d’un aventurier du XIXe siècle et d’une création artistique participative unique inspirée des cabinets de curiosités.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 6 avril

EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE
"MOSSI : UN VASE, DES SAVOIR-FAIRE"

Découvrez les différentes étapes de fabrication du vase Mossi au travers des images prises à la manufacture Lalique par Karine Faby, un des Meilleurs Ouvriers de France 2023 en photographie industrielle.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


Du 31 mars au 6 avril

MUSÉE LALIQUE
"JOURNÉES EUROPÉENNES DES MÉTIERS D’ART"

Le Musée Lalique propose des démonstrations par des personnes travaillant à la cristallerie, personnalisation d’objets achetés en boutique via une petite gravure et un jeu inédit pour tenter de gagner une visite de la manufacture ! Un atelier satinage à partir de 7 ans les 5 et 6 avril. 

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


75 - Paris

Jusqu'au 11 mai 

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


84 - Vaucluse

Le 19 mars 

EXPOSITION
"UN MUSÉE, UN JARDIN"

Une invitation à découvrir le lieu, le musée, son histoire et ses collections d’arts décoratifs, avec des focus sur quelques objets. Mais aussi, le jardin traversé par le Canal de Vaucluse, refuge de la Ligue pour la Protection des Oiseaux, où l’on agit pour la biodiversité. Mercredi 19 mars 2025 à 17h30.  

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
"CIRCUIT COURT & DÉTOURS"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
JEAN-PIERRE GRAS (1879-1964)

Sculpteur et peintre avignonnais, Jean-Pierre Gras est le fils du félibre Félix Gras. Élève de Pierre Grivolas proche de nombreux artistes de la « nouvelle école d’Avignon », il est membre du Groupe des Treize.

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'à mars 2026

EXPOSITION
"LES VOYAGES"

L'exposition Centenaire Robert Laurent-Vibert donne un aperçu de son héritage à travers sa collection privée sur le thème du voyage. L'exposition présente cartographies et livres de voyage du XVIe au XVIII siècles, les peintures de Pierre Beppi-Martin et Charles Martel, ainsi que les photographies de Mohamed Mahdy et Clément Chapillon.

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com

Lieux:

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