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Une étude inattendue suggère que Toumaï marchait à quatre pattes
Actualités

Une étude inattendue suggère que Toumaï marchait à quatre pattes

Après plus d'une décennie dans l'ombre, un fossile crucial de Toumaï, réputé être le grand ancêtre de l'humanité, vient enfin d'être décrit scientifiquement et publié dans la revue Journal of Human Evolution (JHE). Cet os de la jambe suggèrerait que Sahelanthropus tchadensis, vieux de 7 millions d'années, ne marchait pas sur deux jambes et était plutôt apparenté à d'autres singes comme les chimpanzés, selon les auteurs ! Un choc qui vient nourrir la controverse autour de ce crâne superbe découvert par une mission franco-tchadienne dirigée par le paléoanthropologue Michel Brunet en 2002.

L'article scientifique publié par Journal of Human Evolution est signé par le paléoanthropologue Roberto Macchiarelli, de l'Université de Poitiers et du Département Homme & Environnement du CNRS et du Muséum National d'Histoire Naturelle, ainsi que par son ancienne étudiante Aude Bergeret : ils étaient les premiers, en 2004, à avoir repéré l'os de la jambe parmi les restes rapportés du Tchad avec le crâne et s'étonnaient qu'une pièce aussi importante pour déterminer la bipédie, -même si elle est déformée et cassée par endroits-  ne soit pas étudiée ou publiée.

L'article de Roberto Macchiarelli et Aude Bergeret prend de vitesse celui d'une équipe de Poitiers

Las d'attendre, ils ont décidé de publier leur propre analyse qui vient d'être acceptée par une revue de bonne tenue. En s'appuyant sur des photos et une pré-analyse conduite à l'époque... Roberto Macchiarelli admet d'ailleurs n'avoir tenu l'os en main que 3 mn au cours de sa vie avant de ne plus jamais y avoir accès.  Quoiqu'il en soit, l' article du JHE prend de vitesse celui de Frank Guy ( CNRS/Université de Poitiers) et ses collègues tchadiens, qui entendent démontrer à l'inverse que le fémur atteste la bipédie de Toumaï, mais est toujours en cours de relecture et de validation par des pairs scientifiques.

Aude Bergeret-Medina et Roberto Macchiarelli  se sont associés au biomécanicien  italien Damiano Marchi , de l'Université de Pise et au célèbre paléontologue britannique Bernard Wood, de l'université Georges Washington (Etats-Unis), pour étudier la morphologie externe de l’os (sa morphologie interne est l’objet d’un article en cours de publication par une équipe de Poitiers).

Une courbure simiesque

Ils soutiennent au final que le fémur n'est pas celui d'un animal bipède. "Le degré de courbure de l’os, très arqué vers l'avant, est plutôt typique des chimpanzés", explique Roberto Macchiarelli. La tête du fémur (qui articule l’os avec la hanche) est liée au corps du fémur par un pont d’os, appelé le col, explique le paléoanthropologue. Le degré de cet "emmanchement" tête-corps du fémur n'est pas le fruit du hasard mais il est corrélé au comportement locomoteur. Pour assurer la transmission verticale des charges mécaniques en garantissant l'équilibre du corps, chez les bipèdes comme les humains actuels, ou encore les australopithèques fossiles, cet "emmanchement" tête-corps du fémur est en moyenne inférieure à 130°". Une condition retrouvée aussi, selon lui chez Orrorin tugenensis,  très probablement un membre de la lignée humaine âgé de 6 millions d'années découvert au Kenya. Or, chez Sahelanthropus tchadensis, l’angle entre le col et le corps du fémur est très ouvert, approchant, voire dépassant même, les 140°, une condition retrouvée uniquement chez l'orang-outang, un grand singe arboricole.

Le statut d'ancêtre de Toumaï doit-il être révisé?

Dès lors, c'est le statut d'ancêtre de l'humanité de Toumaï qui doit être révisé estiment les auteurs.

"La forme du fémur, sa morphologie générale ne ressemblent pas à celle d’un bipède", estime également Brigitte Senut au Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris, France, co-découvreuse d’Orrorin, qui avait écrit dès 2002, à partir de l'analyse du crâne de Toumaï que ce dernier était plutôt à ranger du côté des ancêtres des grands singes.

Des  critiques sur la méthode

D'autres scientifiques sont plus circonspects. "Il est difficile de donner un avis sur les aspects scientifiques liés à ce fossile, explique Antoine Balzeau, du Musée de l'Homme. L'article publié se limite à quelques mesures de zones fragmentées et déformées, comparées avec des échantillons qui ne sont pas équivalents. Le type d'analyse effectuée (des between-groups, méthode décriée) a pour objectif de maximiser les différences entre les groupes. Pourtant, ils restent très proches les uns des autres, le fémur tchadien tombant à chaque fois dans la variabilité des chimpanzés et des humains actuels. Il est impossible d'en conclure quelque chose. D'autant qu'un article bien plus complet est en cours d'expertise et qu'il apportera des éléments solides à discuter ". Trancher en l'état parait donc précipité.

Il subsiste également un doute concernant le fémur. "Appartient-il au même individu et à la même espèce que S. tchadensis? " s’interroge Martin Pickford, paléontologue au MNHN. Trouver en surface les restes de deux espèces de grands singes coté à cote, et de même taille me semble improbable. De surcroît, les fossiles ayant été ramassés à la surface, il y un doute sur leur âge. Les proboscidiens (proches des éléphants) et suidés (cochons) trouvés dans le même secteur ont en effet entre 10 millions d’années et 4 millions d’années.

Une communauté sous le choc

Concentrée sur son article à paraitre et à peaufiner, l'équipe de Franck Guy  et Guillaume Daver à Poitiers décline tout commentaire pour le moment. Selon plusieurs sources, une partie de la communauté paléoanthropologique est sous le choc et s'interroge sur les conditions dans lesquelles Roberto Macchiarelli et son équipe ont eu accès au précieux fossile ainsi que sur les autorisations qu'ils auraient requises. L'équipe de Poitiers "est d'ailleurs en discussion avec ses tutelles CNRS/Université de Poitiers quand à la conduite à tenir."

"La question de l'accessibilité aux fossiles est d'importance, estime Antoine Balzeau. Ils font partie du patrimoine de l'humanité et résultent du travail minutieux de chercheurs de terrain. Mais cette thématique n'est nullement abordée dans cet article et ne justifie donc aucunement sa publication".


Source : Rachel Mulot / Sciences et Avenir
Crédit : Alain Beauvillain

Vues du fémur de Toumaï.

Une étude inattendue suggère que Toumaï marchait à quatre pattes Actualités

Une étude inattendue suggère que Toumaï marchait à quatre pattes

Après plus d'une décennie dans l'ombre, un fossile crucial de Toumaï, réputé être le grand ancêtre de l'humanité, vient enfin d'être décrit scientifiquement et publié dans la revue Journal of Human Evolution (JHE). Cet os de la jambe suggèrerait que Sahelanthropus tchadensis, vieux de 7 millions d'années, ne marchait pas sur deux jambes et était plutôt apparenté à d'autres singes comme les chimpanzés, selon les auteurs ! Un choc qui vient nourrir la controverse autour de ce crâne superbe découvert par une mission franco-tchadienne dirigée par le paléoanthropologue Michel Brunet en 2002.

L'article scientifique publié par Journal of Human Evolution est signé par le paléoanthropologue Roberto Macchiarelli, de l'Université de Poitiers et du Département Homme & Environnement du CNRS et du Muséum National d'Histoire Naturelle, ainsi que par son ancienne étudiante Aude Bergeret : ils étaient les premiers, en 2004, à avoir repéré l'os de la jambe parmi les restes rapportés du Tchad avec le crâne et s'étonnaient qu'une pièce aussi importante pour déterminer la bipédie, -même si elle est déformée et cassée par endroits-  ne soit pas étudiée ou publiée.

L'article de Roberto Macchiarelli et Aude Bergeret prend de vitesse celui d'une équipe de Poitiers

Las d'attendre, ils ont décidé de publier leur propre analyse qui vient d'être acceptée par une revue de bonne tenue. En s'appuyant sur des photos et une pré-analyse conduite à l'époque... Roberto Macchiarelli admet d'ailleurs n'avoir tenu l'os en main que 3 mn au cours de sa vie avant de ne plus jamais y avoir accès.  Quoiqu'il en soit, l' article du JHE prend de vitesse celui de Frank Guy ( CNRS/Université de Poitiers) et ses collègues tchadiens, qui entendent démontrer à l'inverse que le fémur atteste la bipédie de Toumaï, mais est toujours en cours de relecture et de validation par des pairs scientifiques.

Aude Bergeret-Medina et Roberto Macchiarelli  se sont associés au biomécanicien  italien Damiano Marchi , de l'Université de Pise et au célèbre paléontologue britannique Bernard Wood, de l'université Georges Washington (Etats-Unis), pour étudier la morphologie externe de l’os (sa morphologie interne est l’objet d’un article en cours de publication par une équipe de Poitiers).

Une courbure simiesque

Ils soutiennent au final que le fémur n'est pas celui d'un animal bipède. "Le degré de courbure de l’os, très arqué vers l'avant, est plutôt typique des chimpanzés", explique Roberto Macchiarelli. La tête du fémur (qui articule l’os avec la hanche) est liée au corps du fémur par un pont d’os, appelé le col, explique le paléoanthropologue. Le degré de cet "emmanchement" tête-corps du fémur n'est pas le fruit du hasard mais il est corrélé au comportement locomoteur. Pour assurer la transmission verticale des charges mécaniques en garantissant l'équilibre du corps, chez les bipèdes comme les humains actuels, ou encore les australopithèques fossiles, cet "emmanchement" tête-corps du fémur est en moyenne inférieure à 130°". Une condition retrouvée aussi, selon lui chez Orrorin tugenensis,  très probablement un membre de la lignée humaine âgé de 6 millions d'années découvert au Kenya. Or, chez Sahelanthropus tchadensis, l’angle entre le col et le corps du fémur est très ouvert, approchant, voire dépassant même, les 140°, une condition retrouvée uniquement chez l'orang-outang, un grand singe arboricole.

Le statut d'ancêtre de Toumaï doit-il être révisé?

Dès lors, c'est le statut d'ancêtre de l'humanité de Toumaï qui doit être révisé estiment les auteurs.

"La forme du fémur, sa morphologie générale ne ressemblent pas à celle d’un bipède", estime également Brigitte Senut au Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris, France, co-découvreuse d’Orrorin, qui avait écrit dès 2002, à partir de l'analyse du crâne de Toumaï que ce dernier était plutôt à ranger du côté des ancêtres des grands singes.

Des  critiques sur la méthode

D'autres scientifiques sont plus circonspects. "Il est difficile de donner un avis sur les aspects scientifiques liés à ce fossile, explique Antoine Balzeau, du Musée de l'Homme. L'article publié se limite à quelques mesures de zones fragmentées et déformées, comparées avec des échantillons qui ne sont pas équivalents. Le type d'analyse effectuée (des between-groups, méthode décriée) a pour objectif de maximiser les différences entre les groupes. Pourtant, ils restent très proches les uns des autres, le fémur tchadien tombant à chaque fois dans la variabilité des chimpanzés et des humains actuels. Il est impossible d'en conclure quelque chose. D'autant qu'un article bien plus complet est en cours d'expertise et qu'il apportera des éléments solides à discuter ". Trancher en l'état parait donc précipité.

Il subsiste également un doute concernant le fémur. "Appartient-il au même individu et à la même espèce que S. tchadensis? " s’interroge Martin Pickford, paléontologue au MNHN. Trouver en surface les restes de deux espèces de grands singes coté à cote, et de même taille me semble improbable. De surcroît, les fossiles ayant été ramassés à la surface, il y un doute sur leur âge. Les proboscidiens (proches des éléphants) et suidés (cochons) trouvés dans le même secteur ont en effet entre 10 millions d’années et 4 millions d’années.

Une communauté sous le choc

Concentrée sur son article à paraitre et à peaufiner, l'équipe de Franck Guy  et Guillaume Daver à Poitiers décline tout commentaire pour le moment. Selon plusieurs sources, une partie de la communauté paléoanthropologique est sous le choc et s'interroge sur les conditions dans lesquelles Roberto Macchiarelli et son équipe ont eu accès au précieux fossile ainsi que sur les autorisations qu'ils auraient requises. L'équipe de Poitiers "est d'ailleurs en discussion avec ses tutelles CNRS/Université de Poitiers quand à la conduite à tenir."

"La question de l'accessibilité aux fossiles est d'importance, estime Antoine Balzeau. Ils font partie du patrimoine de l'humanité et résultent du travail minutieux de chercheurs de terrain. Mais cette thématique n'est nullement abordée dans cet article et ne justifie donc aucunement sa publication".


Source : Rachel Mulot / Sciences et Avenir
Crédit : Alain Beauvillain

Vues du fémur de Toumaï.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


20 - Haute-Corse

Le 26 avril

"ATELIER DE PEINTURE VÉGÉTALE"

Découvrez quelques plantes du parc et plantes sauvages, fabriquez vos aquarelles végétales avec une large gamme de couleurs et profitez d’un temps pour peindre avec les couleurs naturelles que vous aurez créées.
Infos et inscriptions au 07 68 83 07 79 ou kurcubitace@gmail.com.
Tarif : 30 €/personne.

Parc de Saleccia
Route de Bastia 
20220 Ile-Rousse
04 95 36 88 83
www.parc-saleccia.fr


25 - Doubs

Jusqu'au 30 avril 

EXPOSITION 
"URGENCE CARBONE"

Urgence Carbone, œuvre d’Iris Leroyer réalisée en charbon de bois, symbolise une Terre carbonisée, qui souligne notre inertie face aux dérèglements de notre planète, en péril. Cette œuvre entre ainsi en dialogue avec les projections en grand format des sites du patrimoine mondial dans le Centre de lumières. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


Du 1er juin au 19 octobre

FESTIVAL DES JARDINS
"L'ÉCOLE BUISSONNIÈRE"

Pour sa 25ème édition, en famille, découvrez des jardins ludiques et interactifs pensés pour reconnecter les enfants à la nature et développer leurs sens. Une porte d’entrée sur le rêve et l’imaginaire. Bien plus qu’un jardin, une expérience.

 Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


31 - Haute-Garonne

Le 27 avril

"JOURNÉE COCKPIT"
AILES ANCIENNES TOULOUSE

Les Ailes Anciennes organisent leur 1ère édition 2025 de la célèbre "Journée Cockpit". Cette année notre association a choisi de mettre à l’honneur l’aviation et l’automobile. Seront donc présents les membres de l’association « American Feeling Car Club » créée en 1989. Ces passionnés présenteront quelques-uns de leurs plus beaux véhicules américains à côté de nos aéronefs.

Ailes Anciennes Toulouse
Parking Site Aéroscopia - Allée André Turcat
31700 Blagnac
05 62 13 78 10
www.aatlse.org


 

52 - Haute-Marne

Du 9 avril au 21 septembre

EXPOSITION
"AOTEAROA NOUVELLE-ZÉLANDE, LES PROTECTEURS DE L’ARCHE PERDUE"

Sabine Bernert vous guidera à la rencontre du rare Kakapo, ce perroquet nocturne au bord de l’extinction, de l’étonnant Kiwi et du mystérieux Tuatara, un reptile aux origines préhistoriques. À travers des récits émouvants et des témoignages inspirants, découvrez le combat quotidien de leurs protecteurs dévoués, déterminés à préserver ces trésors uniques. Un voyage entre légendes et réalités.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


62 - Pas-de-Calais

Jusqu'au 4 avril

EXPOSITION
"CLUB DE PEINTURE DE BARLIN"

Au Musée Municipal Bruno Danvin, le Club de peinture de Barlin, animé par Laetitia Morez, expose 9 artistes (peinture, pastel, acrylique...).

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
03 21 04 56 25 / 07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


63 - Puy-de-Dôme

Jusqu'au 18 mai

EXPOSITIONS
"Les extraordinaires aventures de Jean-Pierre Alibert" 
"Le Cabinet de Curiosités de Riom Limagne et Volcans" 
"Attention fragile !"

Le musée Mandet présente trois expositions inédites, mêlant art, histoire et sensibilisation environnementale. À travers ces expositions, vous découvrirez la richesse du monde animal, de l’héritage d’un aventurier du XIXe siècle et d’une création artistique participative unique inspirée des cabinets de curiosités.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 6 avril

EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE
"MOSSI : UN VASE, DES SAVOIR-FAIRE"

Découvrez les différentes étapes de fabrication du vase Mossi au travers des images prises à la manufacture Lalique par Karine Faby, un des Meilleurs Ouvriers de France 2023 en photographie industrielle.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


Jusqu'au 6 avril

MUSÉE LALIQUE
"JOURNÉES EUROPÉENNES DES MÉTIERS D’ART"

Le Musée Lalique propose des démonstrations par des personnes travaillant à la cristallerie, personnalisation d’objets achetés en boutique via une petite gravure et un jeu inédit pour tenter de gagner une visite de la manufacture ! Un atelier satinage à partir de 7 ans les 5 et 6 avril. 

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


71 - Saône-et-Loire

Du 19 avril au 4 mai

"ATELIERS VACANCES DE PRINTEMPS"
LA MAISON DU CHAROLAIS

Des ateliers pour toute la famille : le hamburger du printemps avec une recette de pain vert, de fleurs et de feuilles avec une recette surprise, les petits artistes pourront se divertir avec l’atelier la "charolaise prend des couleurs" et la "charolaise en pointillés", et pour les amateurs de suspens, la chasse au trésor.

La Maison du Charolais
43 route de Mâcon
71120 Charolles
03 85 88 04 00
https://www.maison-charolais.com


75 - Paris

Jusqu'au 31 août

EXPOSITION
"ALFRED DREYFUS. VÉRITÉ ET JUSTICE"

Le mahJ revient sur "l’Affaire" pour rappeler les grandes étapes de ce moment crucial de l’histoire de France. L'exposition révèle le combat acharné de Dreyfus pour faire éclater la vérité, corrigeant l'image d'un homme spectateur de la machination qui le conduisit à passer plus de quatre années à l'île du Diable et encore sept à lutter pour sa réhabilitation. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


Du 8 avril au 31 juillet

EXPOSITION
"CLEMENCEAU ET BERTA ZUCKERKANDL"

Le musée Clemenceau invite le public à découvrir sa nouvelle exposition-focus Clemenceau, Berta Zuckerkandl, une amitié autour de l’art entre Vienne et Paris. À cette occasion, le musée présente deux dessins de Rodin issus de ses collections ainsi qu'un portrait inédit de Sophie Clemenceau, soeur de Berta et épouse du frère de Georges, Paul, réalisé par Eugène Carrière.

Musée Clemenceau
8 rue Benjamin Franklin
75116 Paris
01 45 20 53 41
https://musee-clemenceau.fr


Jusqu'au 11 mai 

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


84 - Vaucluse

Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
"CIRCUIT COURT & DÉTOURS"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
JEAN-PIERRE GRAS (1879-1964)

Sculpteur et peintre avignonnais, Jean-Pierre Gras est le fils du félibre Félix Gras. Élève de Pierre Grivolas proche de nombreux artistes de la « nouvelle école d’Avignon », il est membre du Groupe des Treize.

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com

Lieux:

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